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Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs. J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Combien de Fois Vous Êtes-Vous Planté ?


Combien de fois vous êtes-vous vautré lamentablement en essayant de faire quelque chose ?

Le standard veut que l’on échoue le moins possible, surtout en France. Alors qu’en fait, plus le chiffre que vous donnerez en guise de réponse à la question ci-dessus sera grand, plus vous aurez de chance d’avoir réussi beaucoup de choses dans votre vie.

On ne peut pas tout le temps gagner. C’est impossible. L’important est de se relever de sa chute ET de comprendre pourquoi nous sommes tombés. Vous pourrez ainsi aller un peu plus loin à chaque fois jusqu’à atteindre votre but : ici l’indépendance financière ( <= Notamment via les 4 leviers exposés dans l’article ci-après)

Un petit exemple personnel :

J’ai dernièrement signé un compromis de vente pour l’achat d’un immeuble en province. Tout était ok, sauf que je n’ai pas eu le financement « à 150% ! ». Sur le coup j’étais un peu vexé mais au final j’ai compris ce qu’il c’était passé et mon dossier sera encore plus fort la prochaine fois. On ne peut pas signer toutes les bonnes affaires !

Si vous êtes comme moi né dans les années 80, alors vous êtes obligatoirement fan de Michael Jordan. Dans cette courte vidéo il explique qu’il a échoué de nombreuses fois et que c’est pour cela qu’il est finalement devenu qui il est:

Traduction :

« J’ai raté plus de 9000 tirs dans ma carrière »
« J’ai perdu presque 300 matchs »
« On m’a fait confiance à 26 reprises pour prendre le shoot de la victoire… et j’ai foiré »
« Je me suis planté encore, encore et encore dans ma vie… C’est pourquoi j’ai finalement réussi »

Combien de fois vous êtes-vous planté cette année ?

PS : N’hésitez pas à partager cet article avec ceux qui ont peur d’échouer.

Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs.

J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Cédric Annicette

Cédric Annicette

Depuis 2006, je partage mon expérience sur l’investissement, l’entrepreneuriat et le développement personnel. Devenu indépendant financièrement en 2011, et millionnaire en 2014, j’organise des séminaires ayant regroupés plus de 3000 personnes. J’ai créé plusieurs formations pour accompagner les personnes débutantes ou expérimentées dans les 4 piliers d’enrichissements que sont : l’immobilier, le business internet, le business classique et la bourse. Cliquez ici pour en savoir plus sur mon parcours

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24 réflexions au sujet de “Combien de Fois Vous Êtes-Vous Planté ?”

  1. Salut Cédric !

    Oui entièrement d’accord avec toi et personnellement j’ai également foiré sur 2 projets cette année ( l’une financièrement et l’autre qui m’a demandé beaucoup de temps pour rien ne me rapporter au final )…

    Puis, j’ai finis par conclure d’autres affaires à partir de mes expériences précédentes … A mon avis, le principal est ne pas faire les même erreurs.

    Mais je garde cette citation en mémoire. Je ne me rappel plus qui le dit :  » Tomber sept fois et se relever huit »…

    Ou encore un autre exemple dont je m’inspire est celui d’Edison lorsque qu’il a inventé l’ampoule… Il a échoué plusieurs milliers de fois et pourtant il est arrivé à son but final…

    Bien amicalement,
    Mik

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  2. Cette année, je me suis bien planté…mais pour mieux réussir! On apprend de ses échecs et nous en sortons plus fort. C’est surtout une question d’image car dans la tête des gens Echec=incompétence, ce qui est absolument faux !

    Surtout ne pas oublier que « l’échec est la mère du succès »

    Répondre
  3. Ma grand-mère disait : « Here’s another learning opportunity disguised as failure. » Elle était maîtresse d’école, bien aimée de ses élèves malgré une certaine sévérité. Et elle avait raison, nos échecs sont une excellente opportunité d’apprentissage si l’on sait en profiter. Nos réussites aussi, mais encore plus nos échecs. Pourquoi ? Tout simplement parce que la plupart du temps, nous ne prenons pas le temps d’analyser nos réussites de façon critique, comme nous le faisons pour nos échecs. Les réussites, comme les échecs, comportent une part de savoir-faire, et une part de chance. Quand on réussit, il faut célébrer, naturellement, mais tout en se posant des questions aussi : Quelle est la part de la chance dans cette réussite ? Qu’est-ce que j’aurais pu mieux faire ? Quelles sont les opportunités que je n’ai pas su exploiter ou que je n’ai pas exploitées pleinement ? Et bien sûr, quand il s’agit d’un échec il faut également l’analyser, non en se morfondant, mais en se disant : « Qu’est-ce que j’ai appris ? Qu’est-ce que j’ai bien fait malgré cet échec ? Quelle part de cet échec m’est attribuable, et quelle part à la malchance ? Qu’est-ce que je pourrais faire différemment la prochaine fois ? »

    L’un de mes métiers est celui de traducteur. L’année prochaine, j’aurais atteint l’indépendance financière, et après 20 ans dans ce métier, je voudrais bien lever le pied. J’ai des clients fidèles depuis 20 ans et je ne vais pas les laisser tomber comme ça. Je cherche donc des collègues pour me remplacer à terme. Mais je rencontre beaucoup de difficultés à trouver une personne suffisamment motivée et professionnelle. Cette semaine déjà, après avoir pris beaucoup de temps à former quelqu’un, elle m’a informé qu’elle sentait incapable de produire la qualité nécessaire, notamment au niveau rédactionnel. Donc plusieurs semaines de perdue. En plus, bien que je l’aie bien rémunéré pour son travail, je n’ai pas du tout économisé du temps, au contraire. J’ai dû prendre beaucoup plus de temps à réviser son travail et à expliquer les modifications nécessaires que j’aurais pris en réalisant ce travail moi-même. J’ai perdu donc du temps et de l’argent sans résultat, car elle ne veut pas continuer. Mais sans rancune de part et d’autre. Elle a appris beaucoup de l’expérience, je pense, mais moi aussi. Quand je suis débordée, j’ai vraiment besoin d’aide, mais ce n’est pas à ces moments qu’il faut chercher de l’aide. Dans l’empressement, on ne choisit pas forcément la bonne personne, mais la personne qui est libre à ce moment là. Il faut que je cherche des partenaires quand j’ai du temps, donc quand je ne suis pas débordée. Je dois aussi tester toute de suite les compétences rédactionnelles de la personne, car la capacité de traduction n’est pas suffisante—il faut aussi que la personne sache bien écrire. Cette compétence est difficile à acquérir et encore plus difficile à enseigner. Enfin, je dois me poser la question sur mes critères. Est-ce que je suis trop exigeante ? Quelles sont les qualités et les compétences vraiment primordiales pour satisfaire mes clients ? Serait-il possible de faire des compromis sur certains critères ? Est-ce que je devrais peut-être chercher une équipe de personnes ayant différentes compétences (traduction, rédaction/révision) plutôt que de chercher une seule personne dotée de toutes les qualités et les compétences nécessaires ? Voilà pour l’histoire.

    Bien à vous tous dans vos projets ! Profitons de nos échecs comme de nos réussites !

    Kate

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  4. “If you want to increase your success rate, double your failure rate.” (Tom Watson).

    Allez voir qui était ce Tom Watson, il a développé une grande entreprise US dans le domaine des technologies.

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  5. sa fait plus de 8ans que jessais de gagner ma vie sur internet et j ai pas encore réussi , mes je suis sur le barre de quelque chose d ‘extraordinaire , l’expériences que j ai a faires du web , il y a aucune école , peux m’enseigner , tout les expériences que j ai acquérie , moi je suis prêt < participer <a un groupes d investisseur ,pour la location de parking , ou bien immobilier …

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  6. Je me suis également beaucoup planté dans ma vie.

    Et c’est vrai que « ça forge » une sacrée expérience que rien ne remplace…
    Chacun d’entre nous a déjà reçu des conseils du style « fais attention à tel ou tel truc, tu vas te brûler ». Et qu’est ce qu’on a fait ? On a écouté ?

    Souvent, je n’ai pas écouté 😉

    Il ne faut pas non plus tomber dans l’excès inverse et écouter tout et n’importe quoi… Difficile de trouver le curseur.

    C’est un peu le but de ce blog, comme du mien. On propose une expérience sur des choses qui fonctionnent (et parfois pas). L’avantage pour le lecteur, c’est qu’on a déjà essayé…

    Quand on vous dit que c’est bon et que vous pouvez avancer vers l’indépendance financière, ce ne sont pas des « impressions ». Ce sont des faits. Et ça fait une grosse différence.

    C’est super d’avoir un blog qui sert de « filtre », non ? 🙂

    Sam

    Répondre
  7. Bon article Cédric! L échec n est que la conséquence de la persévérance. Plus vous échouerez, plus vous tenterez, et plus vous aurez de chance de réussir. Simple logique, le tout est de ne pas se décourager et apprendre de ses erreurs!

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  8. Je suis tout à fait d’accord, quand l’échec arrive, il ne faut pas le dramatiser.

    Mais attention tout de même à ne pas sombrer dans l’excès inverse : Personne n’a besoin d’échouer dix fois avant de réussir la onzième. Il faut toujours mieux réussir la première !

    C’est important de le rappeler car si on se dit qu’on ne peut être plus fort qu’en échouant, on se trompe 1000 fois. En terme d’expérience, le succès est TOUJOURS meilleur que l’échec et BEAUCOUP meilleur car il permet d’assumer de manière plus sereine les éventuels échecs à venir. Le succès, comme l’échec, doivent être analysés de la même manière.

    Mettez toujours toutes les chances de votre côté avant de vous lancer dans un projet. L’échec est quelque chose qu’il ne faut pas provoquer.

    La plupart des échecs sont également « atténuables ». En sachant reconnaître au plus tôt qu’une affaire part dans le mauvais sens, on diminue l’impact de l’échec qui n’en devient qu’un mini-échec. Ce qui est toujours mieux 😉

    L’exemple de l’embauche de salarié est à ce sujet parfait. J’ai une petite anecdote à ce sujet : J’ai eu à embaucher quelques personnes qui sur le papier étaient compétentes. Je pense à une en particulier : Au bout de 3 jours, j’ai bien vu que ça s’engageait mal. J’avais donc le choix entre lui laisser le temps de se former, d’apprendre ou alors de prendre sur moi et de ne pas valider la période d’essai.

    Au final, ça m’a coûté pas mal de temps et d’argent pour seulement 3 jours d’essais qui ne m’ont rien rapportés, mais je ne considère pas cela comme un échec car j’ai su dire stop à temps. Sinon ça m’aurait couté des semaines entières de formation, de révision, de salaire. Au final, au bout de 3 jours j’ai demandé à la personne de ne pas revenir. A ma grande surprise, elle a bien compris. Mais pour elle cela a été un vrai échec car elle avait l’espoir de trouver un emploi stable et elle voyait bien qu’elle n’était pas à la hauteur. Elle avait surestimé ses capacités et gonflé son CV. Je l’ai croisée plusieurs mois après. A la suite de cette histoire, elle s’est réorientée et a trouvé sa voie dans tout à fait autre chose. Moi de mon côté, j’ai embauché une autre personne qui est toujours dans l’équipe depuis.

    Réussite ou échec, la vie continuera quoi qu’il arrive !

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  9. On dirait que tout le monde s’est concerté pour parler de la même chose en même temps. Je suis en train de lire le dernier livre de Robert Kiyosaki et Donald Trump: « Midas Touch, Why some entrepreneur get rich and why most don’t ». Leur premier chapitre porte justement sur ce thème: comment ils ont échoué avant de réussir.

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  10. Je suis dans la pub. Et je parlais plus haut d’une graphiste. Mais j’ai eu des expériences identiques dans d’autres business, avec des paris faits sur de mauvaises personnes.

    A mon avis Cédric, les articles qui parlent des « bienfaits » de l’échec en business sont à lire, mais je pense qu’il faut immédiatement les oublier si on débute dans le business.

    La vie d’un entrepreneur ou d’un investisseur est faite de mini échecs. Chaque jour. Mais on ne les identifie pas toujours en tant que tel. D’ailleurs c’est TRES compliqué de juger si telle action a été un échec. Dans mon exemple, je pourrais considérer que l’échec est d’avoir misé sur la mauvaise personne, or ce n’est pas le cas. Le risque doit être ancré profondément en chaque entrepreneur/investisseur. Si tel est le cas, les échecs n’en seront pas. Ils seront juste « la vie quotidienne ». Rien de plus qu’une variance.

    Avoir une vision globale est une chose primordiale. Je veux dire, pas une vision globale d’un projet, mais une vision globale de sa vie. Si on a un échec sur un projet, on a des réussites sur les autres. Multiplier les projets permet une élasticité. Je suis le plus fervent défenseur du principe du « Plan B » 😉

    Pour revenir au sujet du blog qui est l’immobilier, on pourrait assimiler cela au fait d’investir dans un immeuble de 3 T2 au lieu d’acquérir un T6 de même taille : Si un 1 des 3 locataires s’en va, on garde toujours 2/3 de financement, tandis que si l’unique locataire du T6 s’en va on se retrouve avec un financement d’investissement réduit à 0%. La variance est plus grande, mais le résultat est sans doute le même au final.

    Je vous laisse, aujourd’hui, c’est grand jour normalement, j’ai un nouvel appart à acheter !

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  11. Rebonjour Cédric !

    Bon c’est sûr l’idée de l’échec ne doit jamais être exclue et acceptée quand ça arrive, mais il existe un moyen aussi de ne pas tant échouer que ça.

    C’e moyen est de réfléchir à ces schémas d’échec qui nous habitent, par éducation, de déjouer les émotions, actions qui nous entraînent inconsciemment vers l’échec.

    Qu’ils soient amoureux, financier ou autres…parce que sinon, notre vie peut être un échec permanent.
    Moi j’ai affaire à des gens en échec amoureux, mais au bout d’un moment ils ont envie de s’en sortir quand même. Sinon cela peut être une spirale descendante.

    Il y a globalement des stratégies qui emmènent à l’échec et des stratégies qui amènent à la réussite

    Elisandre

    Répondre
  12. Je suis à 100% d’accord avec toi : en France on voue un culte assez impressionnant au succès et on banni ce qui échouent leur collant une étiquette dans le dos or ce qui échouent ce sont aussi ceux qui essayent et c’est certain que dans un parcours on ne peut pas tout réussir mais les réussites seront nombreuses et les échecs permettront d’être encore plus fort.

    Merci pour les stats sur Jordan 😉

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  13. Salut Cédric,

    pour ma part, je me suis planté au moins une fois cette année. Je voulais réaliser un pari un poker et je l’ai perdu, mais j’ai compris pourquoi.
    Je me souviens avoir hésité à en parler sur mon blog, me demandant si cela allait « bien passer » ou si je devais « tricher » et mentir en faisant comme si tout allait bien. Finalement, j’ai dis la vérité…
    Peut être aussi que j’ai fais de mauvais choix en ouvrant un PEA fin Juin, juste avant la tempête financière, mais bon, pour l’instant il tient bien la route.

    L’échec te donne un côté plus humain et quelque part, te renforce sur le plan du mental.

    amitiés
    alexandre

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  14. Ben moi je me suis fais viré par mon ex qui me trouvait pas assez ambitieu (elle gagnait plus que moi). Grace a ça j’ai rencontré mon épouse fondé une famille, créer des business florissant et surtout je ne remettrais plus les pieds en France (meme pas en vacances)

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