Il y’a 5/6 ans, on trouvait à n’importe quel taudis un ou deux petits trucs qui le rendait « mignon ». Avec la période qui court, tous les biens ne se vendent plus comme des petits pains et les gens commencent à revenir à la raison.
Qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement voici quelques points qui influent sur le prix de son bien immobilier :
L’emplacement
C’est le principal argument en la faveur d’une acquisition potentielle. Cela peut-être la proximité d’une rue cotée, la proximité des transports, écoles, des commerces, des parcs, etc. Au contraire, les « quartiers en devenir » sont à éviter.
L’orientation
L’agencement du logement joue beaucoup sur le prix, un salon exposé plein sud à Paris sera lumineux tout au long de la journée, une cuisine, pièce chaude exposée au nord à Marseille sera plus agréable à vivre qu’une autre exposée sous la fournaise.
L’étage
Le Rdc est toujours le moins cher à part s’il y a un jardin. Les 1er et 2ème étages ont la réputation d’être sombres. Le dernier étage, s’il est accompagné d’un ascenseur est toujours plus cher pour son calme et sa luminosité.
Prestations
La présence d’un gardien est appréciée, de même qu’un digicode et interphone. Parquet, moulures et marbre ajoutent du cachet au bien immobilier.
Le type de construction
Un bâtiment en pierre de taille à bien évidemment beaucoup plus de valeur qu’une façade en crépi. L’achat d’un bien ravalé est également la garantie de ne pas avoir à payer ce type de travaux dans les années à venir.
Dur retour à la réalité, le coup de froid sur l’immobilier est une véritable aubaine pour les primo-accédants dont je fais parti et un véritable drame pour ceux qui ont acheté il y a 2 ans et sont dans l’obligation de vendre aujourd’hui (divorce, mutation,…).