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Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs. J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Investir dans la Location Saisonnière (Quelle Rentabilité)

Dans cette vidéo je vous dévoile exactement combien m’a rapporté le mois dernier l’appartement que je loue à la semaine. En effet, j’ai décidé il y a plusieurs mois d’investir dans la location saisonnière.

Aujourd’hui, vous découvrirez entre autre :

  • Combien de clients j’ai eu et quel est le décompte des revenus
  • Où vous pouvez faire de la location saisonnière (vous êtes sûrement proche d’un endroit où vous pouvez vous lancer)
  • Les photos « Avant » de l’appartement
  • Les photos « Après » de l’appartement
  • Je vous parle également de 2 autres personnes qui font de la location saisonnière

Dites-moi dans les commentaires ci-dessous si vous êtes déjà un propriétaire bailleur en saisonnier? Si non, pourquoi vous ne vous lancez pas? Dites-moi également dans QUEL endroit vous êtes et si vous pensez que votre région à du potentiel!

PS : J’ai crée la première formation en ligne sur la location de coure durée qui permet d’acquérir les connaissances nécessaires pour se lancer. Cliquez ici pour voir en quoi consiste les 9 modules de formation.

Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs.

J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Cédric Annicette

Cédric Annicette

Depuis 2006, je partage mon expérience sur l’investissement, l’entrepreneuriat et le développement personnel. Devenu indépendant financièrement en 2011, et millionnaire en 2014, j’organise des séminaires ayant regroupés plus de 3000 personnes. J’ai créé plusieurs formations pour accompagner les personnes débutantes ou expérimentées dans les 4 piliers d’enrichissements que sont : l’immobilier, le business internet, le business classique et la bourse. Cliquez ici pour en savoir plus sur mon parcours

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136 réflexions au sujet de “Investir dans la Location Saisonnière (Quelle Rentabilité)”

  1. Très bonne vidéo !
    Mes parents louent deux Mobil-Home dans un camping 5 étoiles dans le sud de la France, l’avantage est que tout le monde recherche des vacances dans sud, les familles et les couples pendant les vacances d’été, et les retraités pendant les périodes scolaires… Donc il est presque toujours loué ! Sachant qu’un Mobil-Home coûte environ 20.000€ neuf…

    Répondre
    • Est-ce que le montant plus important demandé pour un mobil-home compense le fait que cette location soit saisonnière ?

      Et d’autre part, je crois savoir qu’il faut louer l’emplacement à l’année au camping…

      Peux-tu nous éclairer Arthur ? 😉

      Car dans le cas de Cdric, l’appart peut être loué toute l’année. Et évidemment, il n’y a pas d’emplacement à louer…

      Merci 🙂

      Amicalement,

      Sam

      Répondre
      • Bonjour ,
        Oui tu as raison , j’y ai pensé aussi , alors c’est vrai le coût de l’acquisition et bien moins important qu’un achat immobilier mais le fait qu’il faut payer une location chaque année , je n’ai pas encore fait le calcul exact mais c’est effectivement peut-être bien moins intéressant ! A voir car pour les mobilhomes , pas de taxe foncière ni taxe d’habitation mais effectivement limité dans le temps car l’hiver le 3/4 des campings sont fermés.

        Répondre
    • Arthur : J’ai également pensé faire comme tes parents car on peut commencer avec un petit investissement, mais en parcourant le net, j’ai vu des commentaires du genre : ça vaut pas le coup…, c’est risqué…. à cause des frais à payer au camping, et sachant qu’il faut changer le mobil home régulièrement (je crois qu’on est dans l’obligation de le changer après un certain nombre d’années…) En fait on est dépendant du camping !
      Que disent tes parents sur ce sujet ??

      Répondre
    • Tout à fait d’accord Arthur. La location saisonnière a le vente en poupe depuis quelques années, notamment dans le sud. La région PACA représente à elle seule plus de 12% du nombre de campings et plus de 12% aussi des meublés de tourisme en France – source DGCIS.

      L’offre est donc très importante dans cette zone géographique car la demande l’est aussi. Maintenant, il faut savoir la capter cette demande, savoir se faire connaître efficacement pour trouver en permanence de nouveaux locataires, car c’est bien la difficulté de l’exercice.

      L’erreur la plus classique, que je discute toujours avec les propriétaires que j’accompagne, est de ne miser que sur le Web pour trouver des locataires. C’est essentiel certes, mais cela ne fait pas tout. Il y a beaucoup d’autres leviers à utiliser pour louer avec succès.

      Partant de cette erreur classique, j’ai rédigé un guide pour trouver facilement ses futurs locataires, disponible gratuitement sur https://www.commentlouerplus.fr. J’espère qu’il pourra en aider quelques-uns à franchir le pas avec succès comme Cédric l’a fait.

      Répondre
    • Pour les mobil-homes en chiffre :

      – Le prix d’achat est de 20 000€ environ pour un mobil-home neuf ( notre camping n’accepte que du neuf, d’autres accepte de l’occasion )
      – La location de l’emplacement avec tous les services qu’il comprend ( assistance, panne etc ) 4200€/ans ( tous dépend du camping, cela peu être beaucoup moins cher mais nous avons préféré les mettre dans un camping que l’ont connaissais bien.

      L’inconvénient est comme vous l’avez préciser, le camping n’ai pas ouvert toutes l’année, mais l’avantage est que le mobil-home est loué tous les semaines, en pleine saison en moyenne 1000€/semaine, c’est la deuxième année et nous n’avons jamais eu une semaine non louée

      En moyenne pour les deux mobil-home, cela revient à 20 000€/ans moins les 8400€ de location du camping.

      Répondre
      • wouhaa ! tant que ça ? Je vis au bord de la méditerranée, pour le moment je n’arrive pas acheter pour faire de la location, tu es en train de me faire réfléchir sur l’achat de mobil home…

        Répondre
  2. Bonjour, Cédric ton appartement est très bien,la gauche va mettre en place des nouvelles lois.
    Concernant les loyers que pense tu de ça,les impôts vont être modifier.??
    La location bénéficie d’un taux intéressant.!
    Pour la location saisonnière a l’année,il y a que les villes comme paris, Lyon, Toulouse, Marseille, Nice,ou cannes avec le festival.Mais quimper a mon avis cela n’est pas valable.

    Répondre
  3. Il manque les chiffres essentiels : prix d’achat, prix des travaux, montant des mensualités de remboursement, rentabilité, façon dont on trouve des locataires saisonniers…etc
    Difficile de se faire une idée du projet avec seulement le montant des loyers perçus sur un mois….
    Mais c’est un bon début, continuez !

    Répondre
  4. Bonjour Cédric,

    he ben justement je vais peut-être récupérer 60.000 euros de fonds et je cherchais un moyen de les rentabiliser, pour un bien ‘maison’ c’est trop peu mais pour un mobilhome, c’est déjà une vue plus intéressante, surtout qu’en cas de chute de rendement dans un camping, on peut le déplacer 🙂

    Arthur, il est positionné de façon fixe ou bien les clients peuvent rouler avec ?

    Amicalement
    Patrick

    Répondre
    • Salut Pat,

      On se croise partout.
      Ave 60 000 euros tu peux faire un carton dans ce secteur (en prenant le temps de chercher).

      Et mieux qu’un mobilhome. Tu peux viser petit châlet de vacances.

      Je suis dans la même situation que toi et je compte bien m’orienter vers ça.

      Le hic…j’ai plus 20 ans…
      @micalement
      Christian.

      Répondre
      • Moi j’avais 250000 j’ai acheté une maison a saint raph loué a l’année
        (piscine résidence fermé) j’ai placé 140000 en apport plus 40000 de travaux.
        On a des surprise dans le sud
        Depuis avec 50000 j’ai acheté dans un vieux séminaires.Valeur 160000
        Pour moi l’utilisation des bâtiments,ancien rénové,c’est pas mal du tout d’abord pour le cachet très spécial,plus vente a terme dans un marché pas bon.
        Je vais louer,je sur les deux projet je suis de 250 euros de ma poche.
        Une fois les charge enlever..!
        Le camping ça n’ai pas valable la revente seras nul,
        Achète plutôt un produit avec une âme,pour la revendre p^lus tard.
        Cédric nous parle souvent de ce que cela lui rapport, très bien mais au final après avoir enlever les charges,les impôts,la CSG.IL TE RESTE COMBIEN!!
        Il me reste après les différentes opération 40000

        Répondre
    • Salut Patrick,
      Les mobils-home sont positionnés de façon fixe, mais après comme tu le dit, tu peux toujours changer de camping en le déplaçant par camion (Reste à voir le prix du service…) À condition que le nouveau camping accepte les Mobil-Home d’occasion, ce qui n’est pas toujours le cas.

      Répondre
  5. Bonjour Cédric,
    Mes parents et ma tante veulent venir me rendre visite a Paris. Je serai intéréssée pour te louer le T2.
    Sur quels sites ton apprtement est-il visible?

    Stephanie

    Répondre
  6. Une petite question : vous avez obtenu l’autorisation de changement de destination, qui est obligatoire avant la mise en location saisonnière, pour le bien ?

    Répondre
  7. Excellente vidéo Cédric !
    Car avec le vendeur pressé et un appart à retaper entièrement , le prix est bien en dessous du marché et c’est là qu’on fait vraiment une affaire.
    Dommage que tu ne fasses pas les travaux toi même , tu améliorerais encore le rendement.
    Par contre , je ne comprends pas pourquoi tu précises au début de la vidéo tu dis que c’est interdit de faire la location saisonnière sur Paris ? ( et en plus tu le fais lol )
    Bonne continuation
    Julien

    Répondre
  8. Bonjour Cédric,

    Merci pour cette vidéo très instructive. Je reste impressionné par les chiffres donnés ! Beau rendement !
    Cependant tu ne dis pas dans la vidéo combien te coûte cet appart au total; tout compris autour de 1000 euros je suppose ?
    Et tu ne parles pas aussi du temps que tu consacres à cette activité : est-ce que cela te prend beaucoup de temps de gérer des locataires qui changent constamment ? Comment tu t´organises pour la remise des clés, l´état des lieux etc … si tu es en Guadeloupe etc ?
    Enfin tu dis que c´est possible dans de nombreux endroits en France …. à ceci près que l´activité saisonnière à Paris …. s´étale sur toute l´année. Je ne pense pas que cela soit le cas à Cannes par exemple ?
    a +
    Adrien.

    Répondre
      • Bonjour Cédric,
        Quand tu dis que tu fais sous traiter… par quel procédé?
        Je suis intéressé, car je pense qu’il y a beaucoup de propriétaire qui souhaiterai louer dans la région où je réside (sud Landes, limite Bayonne) mais qui sont trop loin pour gérer les arrivées-départs, états des lieux, ménage et ainsi de suite. Je suis en cours de créer ma société de services (gouvernante Saisonnière) mais n’étant pas agent immo je ne peux pas m’occuper de la gestion des locations. Je cherche à travailler avec des personnes qui auraient besoin de ce type de prestations. En espérant que tu puisses m’aider…
        merci

        Répondre
  9. Excellente vidéo Cédric , comme d’habitude.
    Effectivement l’astuce de la location saisonnière est plutôt intelligente et je ne n’y avais pas pensé.
    Je ne peux pas acheter de bien immobilier pour l’instant, mais finalement je pense que lorsque je serai en mesure de le faire, je continuerai à louer ma résidence principale et investir dans ce mode de location.
    Je souhaiterai d’ailleurs connaître ton avis à ce sujet : pense tu qu’il faille d’abord acheter sa résidence principale ou est il plus intelligent d’investir dans de l’immobilier locatif ???
    Merci pour ta réponse,

    A bientôt,

    Frédéric.

    Répondre
    • Pour moi si tu veux acheter ta résidence principale car tu as eu un coup de coeur et que tu veux être chez toi vas-y. Mais si tu souhaites investir d’abord c’est également une bonne chose. Tu peux faire les deux donc, ça dépend de chaque cas et des envies 🙂

      Répondre
  10. Très bonne initiative Cedric encore une fois tu as fais le bon choix.
    C’est vrai qu’on ne pense pas souvent à ce type de location , en plus meme si tu délègue a une agence tu es toujours voir pratiquement toujours gagnant.

    @Frederic : Si tu as les moyens rien ne t’empeche d’acheter ta residence principale, mais tu es juste comme la plus part des Français surtout des Parisien, il est plus sage d’investir dans ce type de location selon moi.

    Joris

    Répondre
  11. Bonjour Cédric,

    Excellente idée que je souhaites mettre en application depuis longtemps.

    J’attends d’avoir un peu plus de sousous.

    J’habite dans une région touristique très fréquentée, donc il y a des opportunités.

    Maintenant il faut garder les pieds sur terre.

    Chez nous, Belgique, (je suppose que c’est plus ou moins la même chose partout), le capital de base à investir représente à peu près 40% de l’opération (20% valeur du bien et 20% frais notariés).

    Plus une garantie immobilière, de plus en plus souvent , d’une valeur supérieure à la valeur du bien (expertisé « avec objectivité » (hum) par l’expert de la banque (bon, je veux bien, petites différences entre organismes bancaires, mais soit)

    Bref, ils tiennent leurs sous avec des élastiques.

    Autre aspect, la durée du prêt? 5 10 15 20 25….ans. Tout sera différent.

    Et l’âge de l’acquéreur. Souci pour moi, victime d’un grave accident et à 80% invalide, j’ai pas la cote chez mon banquier..

    Et frais à prendre en compte en fonction de sa situation personnelle, l’assurance vie obligatoire sur la « tête » de l’acquéreur. Ca peut cartonner.

    Pour ma part (pas de secret) mon épouse et moi payons (le prêt sur 20 ans commencé il y a 13 ans) 374 euros par trimestre! Nous avions 37 ans quand nous avons empruntés et pas de problème particulier de santé à ce moment là.

    J’ose pas imaginer maintenant!

    @+
    Christian.

    Répondre
  12. Bonjour Cédric, et merci pour la vidéo.

    Bon, j’ai vu que tu répondais au compte goutte et j’ai déjà tenté ma chance deux fois sans suite, mais, je dois être un peu maso, je re-tente le coup en te posant deux questions.

    La première, tu es passé assez vite sur le fait qu’à Paris ça devenait très compliqué de faire de la location saisonnière car la mairie de Paris fait la chasse aux bailleurs peu scrupuleux. J’aimerais en savoir plus à ce sujet, surtout en ce qui concerne l’autorisation de location en saisonnier avec un local commercial mixte.

    Par ailleurs, pour un local commercial je me demande bien ce que les anciens proprios ou locataires pouvaient y faire comme commerce : appart au fond d’un hall, 20m2 , aménagé en studio…en tout cas ce n’était pas pour y vendre des fringues apparemment!

    Ma deuxième question est la suivante: Avant de faire réaliser tes travaux, à qui t’adresses tu pour le nouvel agencement du bien? A Elise Franck? A ta compagne (les femmes sont beaucoup plus douées que nous pour ça j’ai l’impression), à Valerie Damidot???

    Oserais-je un « d’avance merci pour ta réponse »?

    Au plaisir de te lire

    Répondre
    • Avec ce type de local on peut louer à un médecin, un avocat, un juriste, un kiné, ETC. Il n y a pas que des magasins de chaussures ou des kebab 😉

      Oui les filles sont meilleures que nous pou redécorer les bien c’est pourquoi j’ai une décoratrice.

      Répondre
      • Merci Cédric pour ces précisions.

        Est-ce que c’est ta décoratrice qui redécoupe l’appartement , décide d’abattre telle cloison ou de monter telle autre, ou est ce que tu fais ça de concert seulement avec ton architecte?

        Si tu pouvais revenir dans la suite de tes articles sur le droit de louer en saisonnier pour ce type de biens, je t’en saurai gré.

        à bientôt

        Répondre
    • Je compte voyager assez longtemps prochainement.
      D’ailleurs il faut que je te contact prochainement à ce sujet pour que tu me donnes quelques tuyaux!
      Je fais gérer tout le logistique. Du coup, si tu as Internet tu peux faire ce type de business. Et autant dire qu’avec 2200€, a Varanesi ou à Bangkok tu es plutôt bien 🙂

      Répondre
      • Tu fais gérer par une agence?

        Je n’ai pas compris, c’est un local commercial? Car normalement, tu ne peux pas le louer il me semble?

        D’une manière générale, j’ai toujours été sceptique sur le fait de pouvoir combiner le fait de voyager et/ou vivre à l’étranger une partie de l’année et le fait d’avoir des revenus de l’immobilier, surtout saisonnier.

        Outre le coté pratique au niveau de la gestion (et du coût), il faut aussi tenir compte de l’aspect psychologique. Comme les biens matériels en général, un bien immobilier attache sur le lieu même. Alors plusieurs…Perso, je n’ai jamais rencontré de personnes qui voyageaient vraiment (je ne parle pas de 3 semaines ne club med ou hotel 5 étoiles) qui soient rentier grâce à cela.

        Répondre
  13. Salut,

    Cela fait quinze ans que je me suis mise à la location saisonnière, avec 5 apparts sur I’Ile d’Oléron et aussi un studio et un grand appart à Paris. Pour Oléron, cela marchait plutôt bien. La saison était assez courte (mi-juin à mi-septembre avec aussi les vacances scolaires et ponts). La saison de location saisonnière est très dépendant du lieu où se trouve le bien. A la mer ou à la montagne, la saison est bien définie. Dans mon cas, j’étais plutôt contente, cela rendait l’accueil plus facile à gérer. Ce sont mes beaux-parents, habitant à côté, qui assuré l’accueil et la gestion de la literie. J’ai engagé des voisines pour le ménage, et ma belle-mère m’aidait à gérer la logistique et le règlement de ces dames. Mais la gestion restait néanmoins assez compliqué. Un avantage à la mer ou à la montagne est le fait que les gens acceptent de louer de samedi à samedi. Comme je viens d’expliquer, je proposais de la literie et un service ménage, moyennant un supplément. Mais ces services n’étaient pas particulièrement rentables, après déduction des frais du personnel, de la laverie, etc. en plus de la gestion du stock de draps et serviettes (qu’il faut avoir en double au minimum). Le fait que ma belle-mère nous aidait gratuitement était essentiel, sinon, j’aurais peut-être même perdu de l’argent là dessus, bien que j’ai facturé ces services chacun à environ 10% du prix de la location à la semaine. Quand j’ai vendu les appartements clé en main, j’ai conseillé aux nouveaux propriétaires de supprimer ces services, les gens acceptant d’apporter leur literie avec eux, comme pour les appartements de ski. Nous étions toujours largement complet, donc nous n’avions pas besoin de cela pour trouver des locataires. Ceci dit, il faut toujours assurer l’accueil (état des lieux, remise des clés). Attention, il n’est pas toujours facile de trouver une agence qui veuille le faire, et même si on en trouve, la commission est souvent très élevée. Si un membre de la famille ou un ami peut faire cela pour vous, même en étant payé (service à domicile ou parfois de main à la main), c’est souvent mieux.

    A Paris, la location saisonnière est beaucoup plus complexe. Notamment, les gens n’acceptent généralement pas les contraintes de la location de samedi à samedi, par exemple, ni d’apporter leur literie avec eux. A chaque changement de locataire, il y a donc toute la literie à changer et à laver, repasser, etc. Et l’accueil et l’état des lieux. Quand les gens restent qu’une ou deux nuits, cela devient vite fait de la galère ! Il faut toujours faire un peu de ménage, même si les gens sont censés faire le ménage eux-mêmes. A propos du ménage, j’ai eu de très mauvaises expériences des gens qui laissaient l’appartement dans un état vraiment crad. Je suppose qu’ils sentaient tout à fait justifiés de laisser l’appartement dans un état dégoûtant car ils ont « payé le service ménage ». C’est pour cela que j’ai cessé de proposer le ménage. J’ai bien pris soin de prendre un dépôt de garanti conséquent (30% du prix de la location) à l’arrivée des locataires, en précisant qu’il ne serait pas remboursé si le ménage n’était pas fait. En plus, il faut être très précis sur la définition du ménage (avec la liste des tâches attendues, par ex, laver les douches, lavabos, vider les poubelles, essuyer les surfaces salies, passer l’aspi, etc.). Sinon, les gens n’en font pas la moitié. L’inspection lors de l’état des lieux est très importante. Et cela peut s’avérer difficile quand les gens partent à 5h du matin car ils ont pris un vol low-cost qui décolle à une heure pas possible, ou quand ils arrivent à 23h du soir. A Paris, cela devient un vrai problème. Il est difficile d’imposer des horaires d’arrivée et de départ, tout comme le jour d’arrivée et de départ. Et il faut être aux petits soins avec les locataires, car ils ont la possibilité de faire des témoignages sur le site de location. Ces témoignages peuvent être très avantageux, mais si un locataire est mécontent pour une raison quelconque, il peut aussi vous casser. Même si cela peut être injustifié. Le proprio est donc pris un peu en hôtage par ce système, et doit parfois rendre service même au-delà du « raisonnable » avec des gens très exigeants. Les gens très exigents sont les premiers à vous faire un mauvais témoignage pour un oui ou pour un non. Le proprio est obligé de garder la même annonce, justement pour bénéficier des bons témoignages, qui boostent le taux de remplissage. Les locataires, quand à eux, risquent très peu d’un mauvais témoignage de la part d’un bailleur. Car ils peuvent simplement se réinscrire à chaque location. Peu de proprios ont le luxe de choisir leurs locataires en fonction de témoignages ou de leur ancienneté sur le site de location… Pour ceux qui veulent tenter le coup de la location saisonnière, une annonce bien rédigée avec de belles photos, et de bons témoignages sont essentiels. Des promotions et les services payant « tête de liste » ou « à la une » sur les sites de location peuvent aussi s’avérer très rentables. Et attention à Paris, si la surface n’est pas mixte, on doit demander une autorisation spéciale pour faire de la location saisonnière et c’est compliquée. Cependant, on peut le faire en catimini, mais dans ce cas, attention aux plaintes des voisins…

    Quant à moi, constatant ces inconvénients, j’ai trouvé plusieurs solutions, qui peuvent peut-être servir aux autres.
    1. La location saisonnière aux entreprises. De nombreuses entreprises louent des appartements pour leurs salariés pour les foires et salons ou pour des missions courtes. Il s’agit souvent de locations de moyenne durée (plus d’une semaine), donc plus facile à gérer. Les entreprises paie parfois la totalité de la location à l’avance. Enfin, la même entreprise, si les salariés sont satisfaits, est susceptible de re-louer le même appartement à plusieurs reprises. Cela est un grand avantage !
    Si on garde la formule location saisonnière classique, je conseillerais vivement aux proprios d’imposer des périodes d’au moins 3 ou 4 nuits, si possible, pour éviter une partie des inconvénients cités ci-dessus.
    2. La colocation. La colocation est également une formule très intéressante pour la rentabilité. Chaque colocataire signataire d’un bail solidaire garantit la totalité du loyer. Donc le proprio a autant de garantis (et de garants) que de colocataires. Cela diminue énormément les risques de non-règlement du loyer. Il faut insister sur le règlement en un seul paiement, et ne pas accepter le règlement fractionné. Comme cela, si l’un d’eux est en retard, cela devient leur problème, pas le problème du proprio ! Et aussi ne pas rembourser le dépôt de garantie avant la fin du bail, même en cas de changement de colocataire. On peut faire un avenant pour permettre le changement d’un colocataire, mais le bailleur n’est pas obligé d’accepter. Si le bailleur accepte la substitution de colocataire, on peut alors changer les conditions du bail (y compris le loyer). Du moins, c’est la loi actuelle. Conseils pour une colocation réussi : prévoir au moins 1 salle d’eau/WC pour 2 colocataires, prévoir un réfrigérateur / congélateur et placards cuisine assez volumineux pour éviter des conflits entre colocataires, bien isoler phoniquement les chambres, être très précis sur les attentes en matière de nettoyage et l’entretien des parties communes de l’appartement (car quand cela est la responsabilité de tout le monde, personne ne s’en occupe), interdire strictement la sous-location et la multiplication du nombre de colocataires, éviter si possible de louer à des fêtards qui vont dégrader l’appartement et énerver les voisins.
    Si possible, il vaut mieux concevoir les travaux en fonction de cette utilisation, pour l’aménagement des salles d’eau, la cuisine, etc. D’après mon expérience, la colocation (meublée) rapporte presque autant sinon autant que la location saisonnière, sans les inconvénients.

    J’espère que ces astuces peuvent servir à quelqu’un.

    Kate

    Répondre
    • bonjour, et merci pour toutes ces informations.
      Louant pour le moment un apartement en location meublee pour etudiants, et ayant l’intention de mettre d’autres locaux en location, force est de reconnaitre que les lois en France ne rendent pas la vie facile aux proprietaires…..
      a l’encontre des Etats-unis par exemple.
      Le fait d’etre loin ( je suis a New York ) n’est pas un obstacle . il suffit d’un bon gestionnaire et de personnes de confiance. Cela se trouve.
      Mais la rentabilite, decomptee entretien du bien, et…plus value taxees a la revente ( loi Sarkozi) ne rend pas les choses faciles….. enfin il faut verifier ce que permettent les lois en terme de prises de garanties..etc..
      On comptait en general un rapport de 4o/o, avec LA PLUS VALUE IMMOBILIERE, C’EST PAS MAL…COMPARE A LA bANQUE ET AUX PLACEMENTS DITS DE SECURITE……
      pOUR UN PLACEMENT DE CE TYPE IL VAUT MIEUX ENVISAGER LE LONG TERME.
      Ceci est mon experience. Paris me semble etre tres interessant mais il faudrait que Cedric nous presente les aspects juridiques qui garantissent le proprietaire. Merci par avance. il me semble que Cedric parle de creation de Societe a ce sujet? Ceci serait a developper.
      Dans tous les cas, sujet tres interessant.
      Encore merci a tous.

      Répondre
    • @Kate : je pense que le mieux dans la location c’est de faire dans le service tout compris ! pas besoin de facturer les gens pour faire le ménage 🙂

      tu les factures un peu plus cher mais tu es aux petits soins avec eux et au final ils en seront trés content et te mettront une super note sur le site de location !!

      regardes pour le meme type de logement:

      A- 700 euros la semaine – Service Nettoyage 50 euros – noté 7,8 sur 10
      B- 800 euros la semaine – service nettoyage gratuit – noté 9.2 sur 10

      entre les 2 je choisirais la location B , parfois pour une différence de 50 euros il est appréciable d’etre choyé que de perdre 3 heures de son temps a faire le ménage en vacances, mais derriere le proprio doit assurer a fond 🙂

      je me souviens d’un couple en Alsace en 1995, ou mes parents avait loué un gite, les proprio nous avait superbement bien accueilli avec une bouteille de vin du coin et la brioche locale 🙂 des petits détails qui ont toute leur importance dans la notation finale 🙂

      Répondre
  14. Bonjour Cédric,

    Contant investir prochainement dans l’immobilier, j’avais pensé à l’idée de faire de la location saisonnière sur Paris. Résidant en région parisienne, je pourrais facilement gérer le bien.

    Cependant, beaucoup de changement sont en train de s’opérer au niveau des lois. La location saisonnière devient très risqué à Paris. Certes et comme tu l’as indiqué, ton appartement est à la base un local commercial. Mais le risque est réel.

    La très proche banlieue parisienne me paraîtrait être alors un bon compromis pour contourner le problème.

    Mais n’as tu jamais pensé à faire de l’achat-revente?

    Répondre
    • Tu as tout a fait le droit de louer a titre pro , un investissement en propre est clairement plus risqué car….illégal sur cette zone.

      Contourner cette loi est on ne peut plus simple, il faut créer soit une SCI soit une SAS avec un statut de gestion des biens (moins imposée car c’est des distrib de dividendes et non du revenus). il faut donc passer par la case de création de véhicule juridique. Le gros frein a ce niveau est que les banques financent rarement sans apport dans ce cadre là.

      Le « soucis » est que ce sont des biens pro et non perso, donc il faut vraiment prévoir l’avenir pour les successions de biens via une société.

      Visiblement, Cedric a trouver le moyen de contourner….Sera t’il assez fou pour nous dire comment, j’espère pour lui que non!

      Répondre
      • Petit détail : l’imposition est double.

        La société est imposée sur ses bénéficies, puis l’associé est imposé sur ses dividendes. Il faut donc jongler un peu.

        En outre, via une société commerciale, la PV sera calculée sur prix de vente – valeur comptable après amortissement. Pour un bien totalement amorti, la PV vaut le prix de vente.

        Encore une fois, ca se calcule.

        Répondre
      • J’ajoute un truc.

        J’ai croisé des petits proprio qui confondaient la sarl de famille constituée pour leurs biens meublés avec leur compte en banque.

        Attention à l’abus de bien social.

        Répondre
      • Et j’ai oublié de rappeler : pas d’activité commerciale en SCI, donc pas de meublé !!!

        (petite tolérance si moins de 10% des rentrées, mais c’est une tolérance, si le fisc décide de taper, légalement il peut !)

        Répondre
      • Cédric ….. NON

        La SCI reste une société CIVILE qui n’a pas le droit d’avoir une activité commerciale. Or la location meublée EST une activité commerciale.

        La stratégie, c’est de détenir le bien par SCI, puis de transférer l’exploitation à une sarl, une sas, une snc, bref une société de type commerciale.

        La tolérance est de 10%, mais ca n’est qu’une tolérance, sur laquelle le fisc peut revenir quand ca lui chante. En cas de requalification, ca fait très très mal !

        Répondre
      • passion

        Désolé, mais je ne suis pas d’accord 🙂

        Parlons droit : l’activité de location est par nature civile. Cependant, elle entre lorsqu’elle ne se limite pas à la fourniture d’un logement, mais quand elle fournit une prestation dans la catégorie des commerces par accessoire. Un commerce par accessoire, c’est un acte qui de base est civil, mais dont le contexte est qualifiable de commerce.

        Cf un post un peu plus loin : une procédure en cours contre l’acquisition par une SCI IS d’un bien en location saisonnière. Manifestement, la justice considère le recours valide.

        C’est pour cela qu’on conseille, pour un gite par exemple, de scinder la structure en deux : les murs dans une SCI, les meubles et l’exploitation dans une sarl. Ca évite d’avoir un recours potentiel du fisc.

        Répondre
      • Je me fie à la réponse du responsable d’un cabinet d’expertise comptable spécialisé dans le meublé. L’un des plus grands cabinets français. Je lui lisais ta réponse : « Ce monsieur Xa a tort, désolé », m’a-t-il dit.
        Après, quoi qu’il en soit, faire du meublé avec une SCI et relever de l’IS est un non-sens.

        Répondre
      • passion,

        Je me fies à un cabinet d’avocats spécialisés sur le sujet 🙂 Compte tenu de la popularité, en ce moment, de ces montages, nous verrons dans quelques années lesquels auront eu raison.

        Il y a 3 ans, je disais que le girardin actif (photovoltaique en outre mer) allait poser des soucis juridiques. Et depuis Septembre, on voit pleuvoir les contestations sur des montages girardin de ce type …

        Après, chacun peut jouer comme il l’entend 🙂

        Répondre
  15. visiblement tu n’as pas eut mon commentaire précédent sur la transaction que je suis entrain d’etudier metro courcelles??!

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  16. Merci Kate pour tes conseils.
    Cédric, bravo pour ton investissement. Dans la vidéos, je vois des serviettes dans la salle de bain. Tu fournis donc ce service et draps etc… À changer donc à chaque location …. Comme dit Kate, ça peut être peu rentable… Et la personne qui gère tes locataires doit être quelqu’un en qui tu as entièrement confiance

    Répondre
  17. C’est en effet un bon investissement lorsqu’il est bien étudie en amont, et a Paris, il faut que le bien soit a rénover sinon, c’est pas rentable.

    Je suis sur un projet de 2 pièces , metro courcelles, gros travaux a faire car il est en très mauvais état mais aucun gros œuvre. Je suis en train de budgétiser les travaux et de voir l’apport demandé en banque (ils sont nerveux en ce moment les banquiers ou c’est une idée….!)

    Au niveau de la gestion locative, je manque encore d’info , j’ai eu des montants de com très variables avec de magnifiques promesses orales partout et , évidement , aucune sur le papier. Pour mon étude, j’ai donc pris des hypothèses assez bases pour les revenus locatifs, et la rentabilité reste 1.2 a 1.6 fois supérieure a de la loc classique, c »est une renta analogue a du bail commercial avec plus de flexibilité, donc pour moi, c’est une très bonne manière de diversifier!

    Quid du fisc, ça va bouger, probablement pas dans le bon sens, donc je suis en train de voir avec notre avocat comment on peut faire passer de la loc saisonnière en SCI avec distribution de dividendes via une holding, pas forcement simple puisque les banquiers n’aiment pas trop ces montages, bien que légaux et en France….! Reste l’hypothèse d’une SCI Andorrane; mais ça, c’est un autre débat!

    Affaire a suivre pour moi donc….

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    • « comment on peut faire passer de la loc saisonnière en SCI avec distribution de dividendes via une holding »

      Location saisonnière via une SCI : pas possible. Activité commerciale dans une société civile –> requalification,

      Par contre:
      1) SCI loue à société commerciale, qui commercialise la location saisonnière
      2) SCI vend US à société commerciale, qui fait ce qu’elle veut pendant la durée de l’US.

      Les banques ne refusent pas si vous venez avec un dossier bien préparé.

      Répondre
      • Bonjour Xa;

        je ne fais que partager les solutions que l’avocat a mises en place, je partage certainement maladroitement ce qui a été fait pour moi:

        -En se qui concerne les 10% de tolérance pour les meublés , je ne contredit pas car cela représente en effet dans mon cas moins de 10%

        – Imposition IS 26% ,impôts sur dividendes s’ils sont distribués uniquement, de toute façon , la question ne se pose pas puisque ce type de loc a Paris est illégal a titre privé!

        – Pour le calcul de la PV; c’est idem….!

        -Location saisonnière via SCI, désolée, mais c’est possible, je ne vais pas te sortir l’article le stipulant parce que c’est pas mon métier et que je ne le connais pas, mais j’ai totalement confiance en la qualité de mes conseils par contre , en effet, la SCI est propriétaire et paye la SAS qui remonte ses dividendes sur une holding , je persiste….!

        -Les banques manquent de liquidités et demandent le maximum d’apport possible, je n’ai jamais dis qu’elles refusaient, j’ai dis qu’elle aimaient pas, quand aux dossiers que je leur présente, je ne crois pas que cela les bloque…!

        Merci Xa pour toutes ces précisions techniques.

        Caroline

        Répondre
      • Caroline,

        Désolé, mais non. La location saisonnière est une activité hotelière (comme la location meublée, cf les décisions de justice sur ce point), c’est une activité commerciale, donc par essence non civile !!! Je suis (du verbe suivre), en ce moment, un dossier sur ce problème : une acquisition en résidence hotelière, via une SCI montée pour l’occasion, et un montage contesté.

        Si vos avocats ont des éléments, publiez les, ceux avec lesquels je travaille, et qui sont loin d’être incompétents, semblent ne pas avoir ces éléments.

        La SCI nous dit ce qu’elle est :
        – une société, donc regroupant des associés dans un but commun
        – civile, donc par définition non commerçante, ne vendant pas de service
        – immobilière

        Donc je réitère : la location meublée est une tolérance, pas un droit ! Du fait de cette tolérance, il y a un risque de changement.

        J’ai traité avec des « conseillers » compétent sur le sujet AV / Praslicka pendant des années. Pour eux aucun risque. La réponse Bacquet est tombée, renvoyant la doctrine Marsaudon aux oubliettes, et tous leurs montages intelligents, sans risques, fiables, garantis par « la loi » (bin non, juste par la doctrine et les usages) se sont retrouvés par terre.

        Répondre
    • Bonjour !

      Je m’adresse à tout le monde :

      j’ai entendu dire que la ville de Paris voyait d’un mauvais oeil la location saisonnière à Paris car cela, soi disant (!), crée un manque de logement pour les parisiens.

      Que ce soit vrai ou pas, ne risque-t-on pas de voir cette activité interdite ou sanctionnée dans un avenir proche ?

      D’autre part, je pense aussi que c’est beaucoup de contraintes (entrées sorties des locataires, état des lieux, etc).

      Cédric, est-ce une agence qui gère cela ou une société spécialisée ? Combien elle prend ?

      Répondre
  18. J’ai quelques questions : lorsqu’on est en copropriété, est ce que la copropriété peut s’opposer à la location saisonnière ??
    (Je pense que les personnes qui louent peuvent etre plus bruyantes que des personnes à l’année par exemple..)
    et faut il prévenir la copropriété lors de l’achat ou demander leur autorisations ???

    Répondre
    • J’avoue ne pas m’être posé la question, Cedric saurait probablement mieux répondre que moi même si le bon sens me dirait que non…….

      Répondre
      • Bien sûr que la copro peut l’interdire. Et cela va aller en s’intensifiant, notamment sur Paris, où les appartements haussmaniens sont mal insonorisés. Et n’oublions pas qu’il faut détenir une autorisation de la mairie pour faire une telle activité. Sauf si le bail est mixte…

        Répondre
    • « est ce que la copropriété peut s’opposer à la location saisonnière ?? »

      Cf le réglement de copropriété.

      Par défaut, le changement de destination est libre, mais le réglement peut prévoir des restrictions, restrictions pouvant aller jusqu’à linterdiction pure et simple.

      Tout découle de la loi du 10 juillet 1965.

      Répondre
  19. Bonjour,

    Merci Cédric pour la vidéo et à tous pour les commentaires. Vous répondez à certaines de mes questions et levez mes incertitudes.

    Je pense à investir dans la location saisonnière depuis déjà quelques mois. J’avoue prendre mon temps car je réside à l’étranger et ne viens pas souvent en France. Je préfère donc bien me préparer.

    Comme beaucoup ici, il me semble, les annonces du nouveau gouvernement me laissent un peu dans l’attentes. Quelles seront les nouveautés fiscales et réglementaires? Sommes-nous dans une bonne période pour investir? Seul l’avenir nous le dira.

    Je comptais acheter sur Paris, mais en suivant le fil des discutions, je constate que ce n’est pas si simple. Je vais devoir creuser d’avantage le sujet.
    Dans tous les cas, je suivrai avec attention les nouveaux commentaire et l’évolution de cet investissement.

    Répondre
  20. Pour la revente, la location saisonnière est également un atout. J’ai vendu à plusieurs reprises des propriétés en location saisonnière « clé en main », c’est-à-dire, meublé, équipée et avec tous les conseils et éléments nécessaires pour continuer l’activité de location (business plan avec revenus et charges historiques et projetés, documents contractuels en français et en anglais, lettres/emails types, conseils et astuces basés sur l’expérience pour éviter des problèmes et pour augmenter les revenus, liste des locataires passés….). A chaque fois, les nouveaux proprios avaient déjà des résas confirmées au moment de l’achat. Tout s’est passé comme prévu, voire même mieux que prévu, et ils étaient ravis. Donc avec la location saisonnière, on peut vendre plus facilement, car on peut ainsi vendre « l’activité » avec le bien immobilier. Ce n’est pas négligeable en ces temps de crise.

    Répondre
  21. Salut Cédric,

    Cette vidéo tombe a pic car je suis en train de penser a faire la même chose sur Lyon ou Grenoble .
    J’ai acheté un appart en début d’année grâce a tes conseils et ta motivation. Comme tu me dit, a faire les travaux soi même, ça saoul. Je suis super bricoleur et j’ai refais un 38m² du sol au plafond avec cuisine et Sdb équipée pour 6500€; je le termine fin juillet pour le louer « normalement « .

    Pour mon second projet j’hésite entre un appart en location saisonnière ou un immeuble de rapport dont je pourrais vendre un ou deux appart et garder les 2 ou 3 autres. (l’idéal serais un immeuble de rapport pour de la location saisonnière)

    Quel est ton point de vue sur ce choix ?

    Répondre
    • Salut Jérôme,

      Kate est bien placée pour te parler de la vente à la découpe.
      C’est quelque chose qu’elle a fait à l’île d’Oléron.
      Moi je suis enchanté par ce type de projets donc je t’encouragerai certainement!
      Maintenant je peux faire mon pessimiste : Non c’est trop compliqué! Il faut créer la copro, il faut faire appel à un géomètre, il faut créer des places de parkings, en plus il y a des frais. Non, sérieusement, fait rien plutôt 😉

      Répondre
  22. Vraiment super. Réussir à faire de l’argent dès le début est vraiment la clé en immobilier.

    Qui sont tes clients types? travailleurs, voyageurs ?

    Aussi, je voulais savoir ta perception au niveau des mises de fonds. Es-tu du type « moins de mise de fonds possible » ou bien tu préfères donner un gros cash à la banque?

    merci pour tes réponses.

    Répondre
  23. Coucou Cédric,

    D´après les commentaires la location saisonnière n´est pas la poule aux oeufs d´or.
    Selon toi qu´est ce qui fait la différence entre ta façon de faire la location saisonnière et les autres ?
    Est-ce que tu as déjà pensé à démarcher des entreprises pour stabiliser tes revenus et diminuer les risques ?

    Répondre
    • Salut,

      Tu peux exposer n’importe quel idée, tu auras toujours quelqu’un pour dire que ce n’est pas rentable 😉
      Laverie, parking, création d’entreprise, etc.
      La vérité est qu’il vaut mieux faire quelque chose que de ne rien faire.
      Ma philosophie est de mettre des systèmes en place. Des systèmes qui font que ton business tourne le plus possible sans toi. Si tu veux à tout prix t’enfermer dans les états des lieux et tout faire toi même, dans ce cas oui tu n’auras plus de vie.
      J’en parlerai dans la prochaine vidéo 🙂

      Répondre
  24. Très sympa cette vidéo (ça change des articles précédents qui étaient un peu pauvre, enfin bref). Je ne connais pas du tout l’immobilier à Paris mais un loyer de 1000 euros / mois pour un 20m2, c’est assez hallucinant (même si ton logement est très propre et bien décoré).

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  25. Il ne faut pas oublier que les meublés se louent plus cher (+20 – 30%) que les non meublés. Il faut après tout les meubler, équiper et décorer. Et les meubles et équipements (frigo, lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle, four, micro-ondes, four à repasser, cafetière, grille-pain, etc.) sont à renouveler fréquemment. Par exemple, dans l’un de nos meublés, nous avons du remplacer le lave-vaisselle 3 fois en 5 ans, le lave-linge et le sèche linge 2 fois en 5 ans, le frigo (grand modèle avec congélateur) une fois en 5 ans, les autres équipements au moins une fois aussi en cinq ans. Cela chiffre dans les 1000 euros par an d’équipement à acheter ou à remplacer. En outre, il faut également faire régulièrement des réparations et de l’entretien (peinture, vernis, traitement des sols, nettoyage profond du système de ventilation, des gouttières et terrasses, des surfaces inaccessibles au plafond, etc.). Il faut soit taper le travail soi-même (pénible) ou payer quelqu’un pour le faire. Et pendant ce temps, on ne peut pas louer. On perd donc facilement minimum un mois de location à chaque fois. Le total pour tout cela peut représenter 10% des revenus annuels et parfois plus. On ne peut pas raisonnablement faire payer aux locataires la panne d’équipements, sauf s’il s’agit de mauvaise utilisation avérée ou de dégradation volontaire. On peut bien entendu acheter les équipements avec garanti prolongé, mais il faut payer l’assurance. Si les locataires choisissent des meublés, c’est souvent pour ne pas devoir investir dans les meubles et équipements. Mais ils louent ces meubles et équipements avec l’appartement, donc c’est plus cher…
    Quand il s’agit de l’argent, ce n’est pas le montant simplement qu’il faut prendre en compte, mais la valeur reçue pour cet argent. Par conséquent, 1000 euros par mois peut-être scandaleux ou tout à fait raisonnable.

    Répondre
  26. Merci Kate pour le retour ! Les coûts à prendre en compte pour le meublé sont assez importants … Est-ce que tu peux nous donner des chiffres concernant ton activité de location saisonnière ? Est-ce que c´était intéressant pour toi financièrement parlant ?

    Amicalement.

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    • Pour un studio de 20m2 + 12m2 de mezzanine structurelle (donc qui se vit plutôt comme un appartement de 30m2) avec cuisine équipée, salle d’eau, salon, chambre très bien meublé et décoré à 3 minutes à pied de la station de métro la plus proche, dans un quartier assez populaire mais dans une rue extrêmement calme et agréable :
      En location saisonnière, les recettes représentaient (en moyenne) environ 1250 euros par mois. Les charges associées à la location saisonnière (publication des annonces, coût des promotions publicitaires, accueil, électricité & eau, linge de maison, laverie, ménage, réparations & entretien plus fréquents, papier, encre imprimante, enveloppes, timbres) représentaient environ 350 euros par mois. Sans compter le temps que nous avons passé à gérer les réservations (mettre à jour le planning, répondre aux demandes et des questions des locataires, encaisser les acomptes, envoyer les courriers), ni les frais de comptabilité. Même si nous sommes expérimentés et donc avons mis au point des lettres types et un système de gestion de planning, tout cela prend du temps. Pour les demandes sur les sites de location style Homelidays, il faut répondre très rapidement si possible dans les heures qui suivent la demande, ce qui est très contraignant.
      Recettes net = 900 euros par mois.
      Pour information, ce même studio est désormais loué à l’année à 800 euros par mois. Je trouve que nous sommes largement gagnant en louant ce studio à l’année ! Beaucoup moins de contraintes et de cauchemars. En plus, nous sommes enfin libres de partir nous-mêmes en vacances tranquilles !

      Autre cas : 5 appartements sur l’Ile d’Oléron, 30 à 35m2 chacun, cuisine américaine équipée (lave-linge, lave-vaisselle, four, micro-ondes, frigo, etc.), salon/salle à manger au RDC, 2 petites chambres à l’étage, dont une avec mezzanine structurelle. Aménagés dans un bâtiment de ferme 17è siècle, pierre et poutres apparentes, très belle décoration.
      Location surtout mi-juin à mi-septembre, un peu de hors saison lors des vacances scolaires et les ponts. Pas de charges de copro.
      Recettes annuelles moyenne par appartement : 7500 euros
      Charges annuelles moyenne par appartement : 900 euros
      Revenus annuels nets par appartement : 6600 euros (550 €/mois)

      L’avantage de ces appartements était la saison courte et très concentrée en juin, juillet, août. 85% du CA était réalisé à cette période, ce qui a facilité la gestion. Nous affichions généralement complet des mois ou des semaines à l’avance, et en plus, nous avions des clients qui revenaient plusieurs années de suite. Autre avantage : nous pouvions nous servir des appartements quand ils étaient inoccupés. Mais comme nous vivons loin (à Paris) et sommes très occupés par notre travail, nous n’avons quasiment pas utilisé cette option. Enfin, sans ma belle-mère sur place pour nous aider à gérer l’accueil, le ménage et le linge, nous aurions eu du mal à gérer cela. Il faut savoir qu’il est très difficile de trouver une agences sur l’île qui acceptent de gérer les locations saisonnières (accueil, remise des clés, état des lieux) pour un prix raisonnable. Les commissions demandées sont de l’ordre de 20% à 30% du prix de la location !

      Pour nous, la rentabilité à la location saisonnière était correcte, sans être hallucinante; cela permettait de couvrir tout juste les intérêts du prêt immo et les charges. La location à l’année aurait été possible, mais pas plus rentable. De plus, l’isolation, le chauffage, et l’espace stockage (placards, etc.) des appartements étaient conçus pour une habitation temporaire lors de la saison chaude. Pour une location à l’année, il aura fallu faire d’autres travaux.
      Finalement, ces appartements étaient plus intéressants à la revente, car nous les avons achetés en un seul lot et rénovés, mais les avons revendus séparément. Mais les acquéreurs ont également fait une bonne affaire, puisque la rentabilité nette de chaque appartement (meublés, décorés, équipés, locations clé en main, frais de notaire compris) était d’environ 5,4% et eux, les utilisent eux-mêmes en résidence secondaire quand ils ne sont pas loués.

      Je suis venue à la conclusion que la location meublée à l’année est souvent plus intéressante que la location saisonnière, pourvu que le loyer à l’année peut être fixé à un niveau relativement élevé (bien entendu, en rapport avec des prestations assez haut de gamme : bons équipements, bonne décoration, bon aménagement, etc.

      A Paris, la location saisonnière aux entreprises étaient finalement le moins contraignant, mais les prix étaient alors très proches de la location à l’année. Les contraintes et les coûts associés à la location saisonnière sont importants, et ne doivent pas être sous-estimés. C’est un vrai business !

      C’est peut-être beaucoup de détails, mais je trouve personnellement que les détails de la vraie expérience sont souvent les plus intéressant et parlant.

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  27. Rebonjour Kate,

    MILLE MERCIS pour une information de qualité et VECUE 🙂

    Une petite question subsiste encore : tu n´as pas pensé à louer à des entreprises pour les congrès et foires ? Je pense que cela limite un peu les risques et la casse !

    Perso je pense faire de la location saisonnière sur Cannes en utilisant une des combinaisons suivantes :
    – location estivale + congrès, Festival et quelques séjours de 1 ou 2 semaines
    – location estudiantine + location estivale

    Bonne journée. Adrien.

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  28. Bonjour,

    Oui, j’y ai pensé et je l’ai fait. Je recommande par ailleurs fortement cette solution quand c’est possible, du fait de la localisation de l’appartement.

    NB : Il faut savoir que les entreprises ont l’habitude de négocier et ils usent de cette capacité pour faire baisser les prix de la location. Ils savent très bien que la vacance entre deux locations est un problème pour le bailleur. Comme elles louent pour des moyennes périodes (quelques semaines, voire quelques mois), elles utilisent cela comme levier pour négocier les prix vers le bas.

    Av ec les entreprises, il faut également faire attention aux questions comme le ménage en fin de séjour. Différentes entreprises ont différentes solutions. Si c’est aux salariés de s’en occuper, il faut prendre le dépôt de garanti des salariés à ce titre. Sinon, ils peuvent laisser l’appartement extrêmement sale en partant comme des voleurs le dernier jour. Cela m’est arrivé… Les salariés ne sont pas forcément meilleurs locataires que les particuliers, mais au moins c’est pour des périodes plus longues que les locataires saisonniers touristes.

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  29. La location saisonnière est une PME. Ce que l’on gagne en plus par rapport à la location à l’année représente la rémunération du travail du bailleur. Pour utiliser une expression tirée des années Sarkozy, il s’agit bel et bien de « travailler plus pour gagner plus ». Car si l’on ne met pas la main à la pâte en passant uniquement par des intermédiaires (agences, entreprises de service et d’autres tiers), d’après mon expérience, la location saisonnière ne rapporte pas plus que la location à l’année.

    En somme :

    Les avantages de la location saisonnière :
    – Cela peut fournir du boulot rémunéré au bailleur (s’il est au chômage ou à la retraite ou femme/homme au foyer, cela peut être une bonne chose)
    – Le bailleur a moins de risques d’impayés / de squat que les locations à l’année.
    – Le bailleur peut occuper / utiliser le bien quand il n’est pas loué

    Les inconvénients de la location saisonnière :
    – La gestion prend beaucoup de temps, pas forcément très bien rémunéré (mais tout est relatif…)
    – Le stress et les contraintes ont des conséquences sur la vie personnelle du bailleur
    – Les charges/frais peuvent être importantes
    – Cela peut être mal toléré par les voisins, et peut même être illégal dans certains cas

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    • Kate tu oublies le principal avantage qui est « ça rapporte beaucoup plus »!
      Pour la gestion, pourquoi n’as-tu pas chercher à automatiser le process? La plus value ne réside pas dans le fait de faire du ménage (10€ de l’heure) ou de laver les draps (machine a laver => celui qui fait le ménage lance la machine en arrivant puis va à la laverie sécher les draps), pas de quoi grever la rentabilité.

      Concernant le coût pour poster l’annonce je suis étonné de tes chiffres! Ça me coute 200€ par an soit moins de 2 nuits de location 🙂

      Répondre
      • Je n’ai pas dit que les frais étaient pour la publication de l’annonce, mais pour la globalité des frais.
        Personnellement, je n’ai pas trouvé si facile que cela à gérer la literie, ni à trouver quelqu’un pour la gérer pour un prix raisonnable, mais peut-être je me débrouilles mal. Entre l’achat du literie, la gestion du lavage/séchage/repassage, et le stockage, c’est beaucoup plus lourd que vous semblez penser. Mais encore, peut-être je me débrouille particulièrement mal. Ou peut-être mes attentes en rentabilité sont plus élevées. Plusieurs heures de boulot pour gagner 20 ou 25 euros ne me semble pas raisonnable. Mais peut-être pour d’autres, cela vaut le coup.

        Répondre
  30. Une dernière remarque : par mes commentaires, basé sur mon expérience de 15 ans de loueur en meublé professionnel, je ne veux pas renier la thèse de Cédric que les locations saisonnières sont intéressantes. Elles peuvent l’être, à condition de bien connaître les avantages et les inconvénients.
    Je pense néanmoins que la location saisonnière n’est pas le seul moyen aujourd’hui de générer une rentabilité suffisante en immobilier.

    Pour cela, il faut :
    – bien étudier les marchés / micro-marchés immobiliers pour identifier des bonnes opportunités et pouvoir agir rapidement quand on en trouve
    – penser à la rentabilité dès l’achat de la propriété et se détacher du côté émotionnel (coup de coeur) de l’achat.
    – faire remuer les méninges pour penser à des aménagements / utilisations intéressants
    – concevoir le bien en fonction de l’utilisation projetée (travaux, réaménagement, etc.)
    – ne pas avoir peur du travail (même si on ne fait pas tout soi-même, gérer les entreprises / artisans, trouver une bonne agence, un comptable compétent, faire un montage juridique approprié, etc.–c’est du travail !

    Répondre
  31. Je veux bien croire que d’autres s’en sortent mieux que nous. Bravo pour eux, alors, et qu’ils racontent leur expérience pour la partager.

    Je voulais simplement partager mon expérience que la location saisonnière est à choisir avec prudence, à cause des inconvénients, auxquels on ne pense pas toujours avant de s’y lancer…

    D’ailleurs, pour ce qui est de l’encouragement à investir, je vous encourage vivement ! Cela oui ! Il vaut toujours le coup, même si on a des bonne surprises et les mauvaises surprises. Ce n’est pas parce qu’il y a des risques qu’il ne faut rien faire. Les risques font partie du jeu. C’est la vie. Mais au moins, en investissant, on a une chance d’y gagner. Car compter sur les systèmes actuels de retraite et de salariat, cela relève de la folie ! A mon avis, on est perdant à 100%.

    Donc, investissez, investissons ! Et partageons nos expériences dans un esprit d’entre-aide (et non pour décourager).

    Répondre
  32. bonjour Cédric,

    C’est une très bonne vidéo qui montre que la location saisonnière est un business très rentable.
    Il suffit de trouver la bonne affaire, comme tu le dis, acheter en dessous du prix du marché.
    J’envisage sérieusement d’investir dans un studio sur Lille et de faire de la location saisonnière. J’aimerais avant de me lancer quelques conseils, notamment au niveau du prix de la location, s’il faut fixer un prix à la journée, à la semaine ou au mois. Quels moyens utilisés pour faire la promotion de son bien auprès des personnes intéressées (journaux d’annonces, site internet, bouche à oreille….). Et enfin, penses-tu que Lille est un bon endroit pour se lancer ?

    Merci pour ta réponse

    A bientôt

    Répondre
    • Désolé mais « il ne suffit pas ». C’est la pierre angulaire de tout achat immobilier : bien acheter. S’il suffisait, cela se saurait. Cédric et Kate réussissent ou ont réussi car ils ont su bien acheter. Pour bien commercialiser.
      Mais celui qui pense que la location saisonnière est une poule aux oeufs d’or se trompe. Cela permet d’optimiser ses revenus… En contre-partie, il faut y consacrer beaucoup de temps. Et dépenser de l’énergie. On n’a rien… sans rien.

      Répondre
      • Je ne dis pas que la location saisonnière est une poule aux œufs d’or ! Je pense simplement que l’investissement s’il est bien mené (valable pour toute transaction immobilière) est un business rentable. L’immobilier est un des piliers de création de richesse, qui permet comme le dit Cédric de se créer des revenus passifs ! Après je sais pertinemment qu’un achat immobilier représente du travail, de la détermination et du temps !

        Répondre
    • L’immobilier peut générer effectivement des revenus passifs. Pas la location saisonnière. Car gagner de l’argent par ce biais ne se fait pas sans effort. Comme le dit parfaitement Kate, la location saisonnière, c’est un vrai métier. Possédant deux appartements que je loue de la sorte, je peux confirmer ses dires.

      Répondre
  33. En ce qui concerne l’activité commerciale, oui, la location meublée est une activité commerciale. Mais il faut distinguer cela de la question IS / IR. Car il est tout à fait possible d’avoir une Entreprise Individuelle de Location Meublée Professionnelle (donc enregistrée au RC) dont les revenus sont déclarés en BIC sur la déclaration IR. Mais cette option est incompatible (à priori) avec la structure SCI qui est une structure civile.

    Répondre
  34. Bonjour Cédric,
    la vidéo est sympa 😉
    je suis sur ta lancée, le saisonnier peut rapporter bcp dès l’instant où tu te situes dans un endroit rentable.
    je suis à Versailles, le château… certes les biens sont chers mais pour ce genre d’opération, le rendement est important. surtout avec les touristes étrangers qui sont prêts à dépenser bcp pour un bien nickel 😉
    si tu as des conseils à me donner pour ma ville je suis preneur. sinon renvoie moi à l’un de tes conseils ou à d’autres vidéos 😉
    A bientôt et profites du soleil, aujourd’hui enfin du beau temps 😉

    Répondre
  35. Bonjour Kate,

    Justement, quel est ,selon toi, le montage juridique idéal pour faire de la location saisonnière? D’après ton expérience, y’a t’il un statut que tu préconises en particulier? La sci est-elle une obligation?

    Beaucoup d’entre nous ont ,dans leur entourage, des personnes possédant un appartement en bord de mer ou à la montagne, et qui n’hésitent pas à le louer en saisonnier pendant la période estivale et ce, sans un quelconque montage financier et/ ou juridique.

    La majorité de ces personnes louent leurs appartements en direct sans passer par une sci ou autres…

    Répondre
  36. Bonjour,

    J’ai commencé à répondre à cette question, mais j’ai réalisé qu’il faut écrire tout un article ! Je vais donc ébaucher quelques éléments ici, mais il serait impossible d’aller dans plus de détail dans une réponse forum. Et attention : je ne suis pas avocate; j’ai juste mon expérience et mes propres recherches sur lesquelles m’appuyer. Donc s’il vous plaît, ne tirez pas sur l’ambulance si jamais je fais une erreur dans cette présentation, qui est censée orienter quelque peu les gens qui tâtent le terrain, mais qui n’est pas censée faire office de loi.

    D’après mon expérience, le montage juridique idéal n’existe pas. Le montage qui convient le mieux dépend de la situation juridique / financière / civile de chaque propriétaire / bailleur, ainsi que l’évolution prévue de sa situation, dans la mesure où l’on peut faire des prévisions.

    La SCI est utile pour détenir une propriété à plusieurs, ainsi que pour la transmission du patrimoine, car on peut transférer ou léguer des parts de la SCI, ce qui constitue une transaction mobilière, et n’est pas une transaction immobilière. La SCI était également fiscalement avantageux pour certains, mais, je pense que certaines lois ont été modifiées ces dernières années afin de diminuer l’avantage fiscal que la détention de parts de SCI peut conférer. Je ne me rappelle plus exactement de quoi il s’agit, mais cela vaut le coup de regarder pour ceux qui pensent monter une SCI. Et la S.C.I est obligatoirement soumise à la T.V.A dans les cas suivants, lors de :
    —- la location à usage professionnelle de locaux aménagés,
    —- la location en meublés,
    —- la location à usage commerciale lorsque le bailleur participe aux résultats de l’entreprise,
    —- la location d’emplacements de stationnement de véhicules,
    —- pour les immeubles construits par la S.C.I si l’immeuble n’est pas destiné à l’habitation principale pour les trois quart de sa superficie.

    Donc il faut appliquer la TVA pour la location en meublés. Cela peut être parfois souhaitable, parfois pas, en fonction de la situation. Si le propriétaire doit faire des travaux importants, être assujetti à la TVA lui confère également le droit d’en déduire. Donc dans ce cas, cela peut être un avantage. Mais pour un propriétaire qui n’a pas beaucoup de travaux, ce n’est peut-être pas idéal (déclarations à faire, montant du loyer à augmenter du montant de la TVA, etc.).

    Les revenus réalisés par les membres d’une SCI peuvent être déclarés en IS ou en IR. Ce choix est important, car il détermine le droit à certains types de déductions/avantages. Pour citer un exemple, les locations nues Scellier ne sont pas compatibles avec une imposition en IS. Il y a différents avantages et contraintes associés avec chaque option. Les personnes intéressées par la création d’une SCI doivent donc faire bien attention de se renseigner sur l’impact de ce choix avant de le prendre.

    Mais on peut tout à fait louer un appartement meublé détenu directement, sans passer par une SCI.

    Parmi les autres options possibles (résumés de façon vraiment succincte) :
    – Le régime micro foncier (recettes < 15K€/an)
    – Le régime LNMP (recettes < 23K€/an et 23K€/an et >50% des revenus du foyer)

    Enfin, pour partager ce que je sais sur le régime LMP, qui est le régime que je connais le mieux. Je n’ai pas monté de SCI, car je voulais être éligible au régime LMP afin de déclarer les bénéfices (ou pertes) professionnels en BIC, puis si applicable, déduire le déficit de mes revenus globaux. Mon expert comptable m’a expliqué que cette option n’était pas possible en passant par la case SCI (qui est civile et non commerciale). Je détiens donc les propriétés directement, mais je déclare le bénéfice (ou perte) en BIC sur ma déclaration IR. Les recettes et charges sont comptabilisées à travers la structure LMP (enregistrée au registre de commerce). Ce régime est très difficile d’obtenir et de garder, surtout après les réformes de 2009. Avant, il fallait réaliser >23K€ de recettes annuelles OU des recettes représentant >50% des revenus du foyer, mais depuis 2009, il faut remplir les DEUX conditions.
    Dans la pratique, cela veut dire que notre foyer n’a pas le droit de gagner des revenus par ailleurs qui dépassent le montant de nos recettes des locations meublées (sinon on tombe sous le régime LMNP beaucoup moins avantageux). Pour être concret, par exemple, si nos recettes des locations (donc avant déduction des charges) étaient juste au-dessus des 23K€, on mangerait des pâtes tous les jours et on ne vivrait pas très bien, car une famille de trois personnes à Paris qui vit sur 1900€ par mois, ce n’est pas la joie… (En effet, les revenus de notre foyer seraient alors limités à 23K€ maximum).
    Mais nous parvenons à réaliser des recettes des locations plus élevées, alors on peut vivre mieux, tout en veillant de ne pas dépassant les recettes des locations. Donc il faut jongler en permanence, pour garder les recettes de la location assez élevées, et pour ne pas trop gagner par ailleurs. Pas fastoche ! Pour réaliser cet exploit, il faut être soit retraité avec des petits revenus, soit pouvoir maîtriser ses revenus, par exemple, en travaillant pour soi-même. (NB : Il ne faut pas imaginer que les recettes de la location vont dans notre poche, car cet argent est utilisé pour payer les prêts, charges, frais et travaux. Il ne reste en fait qu’un déficit ! Mais c’est là tout l’intérêt de ce régime, car on peut alors déduire ce déficit de nos revenus.)

    Le régime LMP, bien qu’avantageux pour nous, est donc loin d’être ‘idéal’ pour des personnes dans une situation très différente de la notre. C’est pour cela que je disais qu’il n’existe pas de montage « idéal » mais uniquement de montage adapté à la situation de chaque proprio/bailleur.
    .
    J’espère que j’ai un peu répondu à la question. Désolée d’avoir été si longue, mais la question est complexe.

    Kate

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  37. Tu t’es quand même super bien débrouillé pour refaire l’appart, les photos sont vraiment bluffantes !

    En fait, pour l’immobilier, l’important n’est il pas de voir le rendement ? Parce que des chiffres « nus » comme ça sont assez peu significatifs, il faudrait voir combien tu as investi pour acquérir le bien et pour faire les travaux. Il me semble que 10% de rendement est un bon objectif.

    Enfin, je me tais, je parle un peu trop. Moi en immo j’y connais rien :p

    Répondre
  38. Défiscalisation LMP : ISF
    L’ISF ne taxe pas les biens liés à votre activité professionnelle.

    Considérés comme biens professionnels, les biens donnés en location meublée ne sont pas inclus dans votre assiette ISF taxable si :

    Vous touchez plus de 23 000€ par an de loyers.
    et
    Que ces loyers représentent plus de 50% des revenus de votre foyer fiscal.
    Attention, les deux conditions doivent être réunies, il ne s’agit pas de l’une ou l’autre.

    Répondre
      • passion …

        Art 155 – IV -2 CGI

        « 2° Les recettes annuelles retirées de cette activité par l’ensemble des membres du foyer fiscal excèdent 23 000 € ;

        3° Ces recettes excèdent les revenus du foyer fiscal soumis à l’impôt sur le revenu dans les catégories des traitements et salaires au sens de l’article 79, des bénéfices industriels et commerciaux autres que ceux tirés de l’activité de location meublée, des bénéfices agricoles, des bénéfices non commerciaux et des revenus des gérants et associés mentionnés à l’article 62.  »

        Les recettes ….

        Répondre
      • Non non, c’est le même article. Pour que les biens soient qualifiés de professionnels, il faut que les recettes correspondent au 155 cgi.

        Tant mieux, c’est plus facile 🙂

        Répondre
      • Je vais te donner les coordonnées de mon expert, tu t’arrangeras avec lui. Il m’a lu l’article… Différence entre les loyers, le CA, et les revenus avec résultat fiscal. Maintenant, je te dis ça, je m’en fiche, je ne suis pas du tout (ou pas encore) concerné.

        Répondre
      • D’ailleurs, je ne t’ai pas dit que les biens n’étaient pas qualifiés de professionnels. Je ne te parle pas de distinction entre LMP et LMNP mais de LMP et de LMP face à l’ISF. Je crois que tu fais fausse route cher ami… 😉
        Demande à tes avocats de se rencarder. Et si besoin, je leur donnerai les coordonnées de mon expert.

        Répondre
      • Ca y est, j’ai pigé (il faut que j’arrête le vin aussi). Tu parles du 885R et de la réponse Marini (2006)

        Il me semble qu’il y a eu une modification, suite à cette question, mais il faudrait que je vérifie (et mes avocats, en général, je ne les dérange pas le WE, sauf cas très particulier).

        Répondre
  39. C’est intéressant, sachant qu’en plus l’achat d’un local
    commercial est beaucoup moins important !
    Donc si j’ai bien compris, il est possible d’acheter un local
    commercial, de le retaper en appartement et de le louer en tant
    que location saisonnière en faisant un contrat à usage mixte ?
    Et est-ce possible de le louer à l’année ?

    Répondre
  40. Mon Dieu,

    Que c’est compliqué en France!
    Pour les visiteurs belges: https://www.immo-particulier.be/fr/informations/conseil-immobilier/fiscalite-residence-secondaire.html

    Et si votre activité de locations diverses est importante, elle peut tout simplement être considérée comme une activité commerciale.

    A noter, les habitations meublées louées pour les vacanciers doivent répondre à des exigences spécifiques en matière de sécurité, électricité…plus respect de certains règlements communaux.

    Quand au problème de rentabilité je pense que beaucoup pertent de vue que pour certains (le plus grand nombre sans doute) il s’agit essentiellement de se constituer un capital immobilier en calculant que les rentrées locatives couvrent les frais (prêt, entretiens…). Et après cela fait office de levier pour augmenter son capital. La locations saisonnières en zone touristique est une opportunité rentable.

    Personnellement je suis invalide et je dois donc m’assurer des revenus pour ma pension (je recevrai des cacahuètes).

    Je suis en situation de devoir aménager une partie de mon habitation (ou d’acheter autre chose) pour me constituer un capital immobilier générateur de revenus à mes 65 ans.

    Tout reviens à mon avis de calculer en fonction de la zone géographique, de la clientèle potentielle, de la concurrence….
    @+
    Christian.

    Répondre
  41. Bonjour Cédric,

    Ta vidéo viens à point .
    Je suis en ce moment dans le var,j’ai étudié la question
    avec un vendeur chez Sibl…
    Ce n’eest rentable qu’à partir du moment
    où tu as la somme du mobilhomme en cash
    Si tu dois t’engager dans le credit
    Ce n’est pas rentable.

    Répondre
  42. Bonjour,
    D’après les commentaires des uns et des autres, cette vidéo de présentation et d’explication paraît très intéressante..
    Or… Je suis sourd, et je ne peux pas entendre, et donc pas comprendre le commentaire audio de présentation ! Est ce que quelqu’un pourrait sous-titrer la vidéo ? Ou me traduire le monologue audio sous forme de texte écrit et posté dans les commentaires, ??
    Par avance je vous en remercie beaucoup !
    Pasc

    Répondre
  43. Pouvez-vous svp confirmer s’il est possible, à l’instar de la location saisonnière, de louer à l’année en meublé un local aménagé en conséquence, à usage mixte ?

    Répondre
  44. Salut Cedric!
    Moi le seul inconvenient que je trouve dans cet investissement c’est qu’en dehors d’un bail commercial, la mairie de Paris met vraiment beaucoup de batons dans les roues!
    Tu as parfois survolé la question du financement en parlant de courtier etc …
    Comptes-tu faire de nouveaux seminaires dans les mois a venir pour les gens qui s’interessent a ce type d’investissement.
    ?

    Répondre
  45. Intéressant, mais la location saisonnière à paris est devenue très compliquée en raison du manque de logements locatifs et pratiquement illégale vu les contraintes.

    Bien sur le bien est déclaré à la mairie de Paris en tant que tel et tu paies les taxes de séjour de tes clients?

    Après les écueils de la mairie de Paris, la copropriété ne s’oppose t’elle pas à ce type de location ?

    Car attention le jour ou les résidents trouvent les nuisances des arrivées et départs perpétuels trop pénibles, ils font interdire ce type de location dans le règlement de copropriété.

    Répondre
  46. Bonjour Cédric et merci pour cette vidéo très intéressante!

    Hélas, je ne trouve pas cette fameuse autre vidéo ou tu présente le bien et le coût des travaux, et apparemment je ne suis pas la seule a être un peu perdue dans ton blog ;)…

    C’est vraiment important de connaitre la situation de l’appartement (surface/ quartier) et son prix d’achat ainsi que le coût global des travaux…. peux tu me l’indiquer, ou donner le lien vers l’autre vidéo ? Je cherche depuis hier !!

    Merci

    Répondre
  47. Que pensez-vous du système de gestion locative du Club Med à Valmorel ou le loyer est à la fois en nature (3 semaines au Club Med ) et en numéraire selon l’occupation des chalets.

    Grand Merci

    Répondre
  48. Bonjour,
    Merci pour cet article très intéressant. Je viens tout juste d’ouvrir un gîte urbain en Dordogne et toutes les « astuces » que vous donnez nous les avons également appliquées, mais la question que je me pose c’est COMMENT COMMENCER A SE FAIRE CONNAITRE???AU BOUT DE COMBIEN DE TEMPS AVEZ-VOUS EU DES RESERVATIONS?
    Nous nous sommes inscrits sur plusieurs sites connus.
    Par avance merci.

    Répondre
  49. Bonjour,
    Votre vidéo est très intéressante.

    Je suis sur le point de signer un compromis pour un studio de 14 m2 plus loggia 3’5m2 entièrement meuble sur cannes ( dans le carré d or) pour faire un investissement pour de la location saisonnière .
    Vue les commentaires , je me pose beaucoup de question . Ce bien est il un studio ou une chambre de bonne . Sur le relève des charges de copropriété il est note comme chambre de bonne et à l agence comme studio . Quel est la fiscalité de ce bien ?
    Merci pour vos réponses

    Répondre
  50. Bonjour,

    Ma mère a un appartement en bord de mer dans l’Hérault qu’elle mettait en location saisonnière. Mais avec l’age, elle ne peut plus s’occuper de sa gestion. Moi j’habite à 400km et je ne peux pas y aller chaque semaine pour l’état des lieux, la remise des clés. Bref, je cherche à déléguer cela. Connaitriez-vous un site (ou un système) qui offre ces services. Je ne souhaite pas passer par une agence du moins dans l’immédiat car frais importants et je pense pouvoir trouver des locataires par moi-même avec les sites Web genre Abritel.

    Répondre
    • Bonsoir,
      Je viens de lire votre post. Je suis dans la même recherche que vous. Avez-vous trouvé un intermédiaire ? de quelle façon ? A quel tarif ?

      Merci de votre réponse

      Répondre
  51. Salut,

    La location saisonnière bien gérée est intéressante (c’est comme pour tout, il faut bien gérer l’affaire)
    Trouver une personne sur place qui s’occupe du bien, des entrées-sorties, etc. c’est un plus aussi pour le vacancier !
    On a ainsi tout le temps de gérer le dossier par mail, en ligne, etc.

    Très bon article 🙂

    Répondre
  52. Bonjour Cédric !
    J’ai regardé avec beaucoup de plaisir les deux vidéos que tu as mis sur le site de Nathalie Cariou à propos de la location saisonnière et je dois dire que je suis assez emballé, je fais des calculs dans tous les sens depuis plusieurs jours pour savoir si cela serait rentable chez moi à Toulouse avec mon budget bien sûr..

    Je bloque sur ton étude de cas, ton appartement en Guadeloupe avec la piscine, peux-tu m’aider stp ?

    Si j’ai compris correctement la bonne démarche pour évaluer si un projet est viable est de prendre le pire des cas c’est à dire 15 jour de location par mois.

    Si je reprends tes chiffres:
    Revenus encaissée en 3 mois : 4470€, soit environ 50€ par nuit donc 750€ pour un mois (15 nuits)
    Crédit en cours 564€,
    Il reste donc 186€ pour couvrir :
    – la taxe foncière (400€ par an ?)
    – les charges de copropriété (80€ par mois ?)
    – l’électricité (50€ par mois ?)
    – les frais de gestion locative et le ménage, puisque tu nous as dit dans ta vidéo qu’il faut déléguer 🙂 (est-ce bien environ 10% des loyers perçus ? soit 75€ par mois ?)
    – les diverses petites réparations
    – et enfin les impôts mais j’ai compris que tes parents et toi avez acheté via une SCI IS donc peut-être que la déduction des charge et des intérêts d’emprunts vous permet de ne pas payer d’impôts ?

    Certes la rentabilité brut est autour de 10% mais je pense que les 186€ restants sont loin de couvrir tout ce qui reste, est-ce que je me trompe ?

    Merci à toi pour ton aide, ton site est super ! 🙂
    Jérôme

    Répondre
  53. Ta video est très intéréssante. Je vis en Guadeloupe. Je suis en train de transformer mes appartements en location saisonière touristique.
    Ta video me rassure de ma décision car la location normale vide n’est pas trop rentable.
    Envoie encore des vidéos encore aussi intéressante.

    Répondre
  54. Super vidéo, je vis en Martinique et avais deja investis y a5 ans, je souhaite refaire mais avant proposer mes services de gestionnaire pour biens en location saisonniere!
    quels seraient le bon %

    merci de ta reponse

    Répondre
  55. Bonsoir,

    J’envisage de me lancer dans la location saisonnière en Espagne. Je ne suis pas sur place et j’ai déjà un contact en tant qu’intermédiaire car je ne serais pas présente pour m’occuper de l’appartement. Mon contact me fait une proposition qui m’apparait bien élevée. Pouvez-vous m’aider ?
    accueil, remise des clés :40E par location
    OU
    accueil, remise des clés, contact téléphonique, aide à l’arrivée, infos utiles, en cas de problème avec la location, …/ 10% par location (que ce soit 1 semaine ou 2, donc prix doublé).

    Merci d’avance.

    Répondre
  56. Salut Cédric, ta formation sur l’investissement saisonnier à l’air en béton!! 🙂 bien joué pour ces 2 superbes investissements! je ne vis pas en France et je m’intéresse depuis peu aux investissements financiers et à l’immobilier. Par curiosité, je me demande si après les attentats en France: y a-t-il moins de touristes à Paris? est-ce que ca a touché ta location ou pas le moindre du monde? j’espère la deuxieme option! 🙂
    bonne continuation!

    Répondre

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