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Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs. J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

(Article invité)J’ai fait l’Essec et alors?

Aujourd’hui, je laisse la parole à Alex Chhean, un jeune entrepreneur qui a bâti une entreprise réalisant plus d’un million d’Euros de chiffre d’affaire. Il fait parti d’un des nombreux entrepreneurs que j’ai eu la chance de côtoyer en 2011. Seth Godin disait « Vous êtes la moyenne des 5 personnes que vous côtoyez le plus ».
Comprenez-moi bien, je ne dis pas que vous devez virer tout vos potes de collèges, loin de là! Mais vous devez vous développer un réseau d’amis et de contacts qui partagent les mêmes valeurs et centres d’intérêts que vous. Ainsi, de mon côté je lui ai donné des conseils sur l’immobilier et lui m’a donné des conseils en comptabilité. Le courant est tout de suite bien passé car nous avons plusieurs points en communs tels que des études effectuées dans la même ville (Cergy-Pontoise), le même âge et la faim de construire des choses en partant de zéro. Alex vient également de lancer un blog sur l’importance des mentors : Des Mentors Pour Entreprendre. Je vous recommande vivement d’y jeter un coup d’œil. Je lui laisse maintenant la parole!

On me pose souvent cette question :

« Pourquoi avoir entrepris si jeune dès la sortie de tes études ? Tu as pourtant fait l’Essec.
Tu aurais pu avoir un poste bien rémunéré, la sécurité de l’emploi et être au chaud »

Le problème c’est que je ne voulais pas de cela.
Je ne voulais pas de cette « sécurité ». Ce que je voulais c’était de relever des défis et apprendre.

Pourtant, j’avoue avoir longtemps hésité durant ma dernière année d’études.

Je me posais la question :

« J’ai emprunté 14 000 euros pour faire une formation et je vais me lancer à l’aventure sans être sûr que mon projet va marcher, sans être sûr de pouvoir rembourser mon école d’ingénieur et ma formation à l’Essec… Alors que j’aurais la certitude de pouvoir le faire en étant salarié… »

Il y a eu des moments où j’avoue que la peur prenait le dessus

Je me disais alors (ou plutôt je rationalisais) :

« Bon finalement, je vais attendre un peu. Je vais commencer ma carrière en salarié, rembourser mon emprunt d’étudiant et attendre plus tard pour entreprendre »…

Puis, presque au moment où j’allais abandonner ce projet de me lancer, j’ai eu un cours d’un professeur brillant.
Il n’était pas simplement professeur mais également entrepreneur.
Il avait érigé, durant sa carrière, trois entreprises comptant plusieurs milliers de personnes et leader mondial sur son secteur.

Son histoire et son parcours m’avaient énormément plu. Il s’était lui-même lancé dès la fin de ses études après avoir fait le MIT (Massachusetts Institute of Technology).

Durant ce cours, nous avions regardé la vidéo de Steve Jobs lors de la remise des diplômes à Standford en 2005.

Celui-ci, après avoir parlé de son parcours, disait à la fin du discours la phrase suivante :

« Stay Hungry,…Stay foolish » – Soyez fou, soyez insatiable.

C’est alors que j’ai commencé à regarder mon projet sous un prisme différent.

Je me suis alors dit :

  • J’ai 24 ans, même si j’échoue je pourrai toujours me rattraper et prendre au pire un poste en tant que salarié
  • Qu’est-ce que je regretterai plus tard en regardant derrière moi ? Avoir essayé et tenté ce que je voulais réellement faire ? Ou choisir la voie de la « sécurité » et regretter plus tard de ne pas mettre lancer ?

Ma réponse était toute trouvée.

C’est ainsi que je me suis lancé.

Dés le deuxième exercice, mon entreprise dépassait la barre du million d’euros et a été rentable dès sa première année. Par ailleurs, je viens d’acquérir un bien immobilier d’une valeur d’un demi-million d’euros.

Évidemment, je ne suis encore qu’à mes débuts. J’ai encore énormément à faire et à apprendre.

Plus que ces résultats, ce sont surtout les compétences et l’état d’esprit, que j’ai acquises au travers de ce projet, qui ont été pour moi les plus valorisants.

En tant que jeune dirigeant, je devais exploiter et développer au maximum mes compétences.
Que ce soit :

  • Dans le management
  • Dans la prise de décision
  • Dans la stratégie d’entreprise
  • Dans la gestion financière
  • Dans la vente
  • Dans la mise en place de process
  • Pour mettre en place des partenariats solides pour l’entreprise
  • etc…

Chose que j’aurais pu difficilement acquérir ou développer si j’étais rentré dans un poste en tant que salarié.
Jamais je n’aurais eu autant de responsabilités dès le départ et l’occasion de développer autant mes compétences et mes capacités de manière aussi globale et aussi poussée.

Il y a eu certes des moments difficiles (voire très difficiles) mais c’est dans ces moments que j’ai le plus appris et que j’ai le plus progressé.

Ayant été lauréat du Réseau Entreprendre également, je côtoie un nombre important d’entrepreneur de tout âge.

Ce que je remarque, c’est qu’un bon nombre partage les mêmes valeurs.

C’est à dire :

  • Le dépassement de soi
  • Relever des défis et toujours donner le meilleur de soi même
  • Vivre la vie que l’on a toujours rêvé d’avoir
  • Être indépendant et prendre en main sa vie et sa destinée.

A mon sens, c’est ce qui caractérise les entrepreneurs.
L’envie d’apprendre, de se dépasser et de contribuer à leur façon à rendre le monde meilleur au travers de leur projet.

C’est ce qui caractérise les entrepreneurs.
Tout du moins, c’est ce qui me caractérise et qui me donne l’envie d’entreprendre.

C’est également une des raisons pour lesquelles j’ai créé le blog Des Mentors Pour Entreprendre.
Ma mission au travers de ce site est de donner des conseils à des jeunes entrepreneurs qui se lancent et d’aller interviewer des entrepreneurs, ayant brillamment réussi, pour qu’ils puissent nous faire partager au travers de ces interviews leurs conseils et leurs expériences.

Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs.

J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Cédric Annicette

Cédric Annicette

Depuis 2006, je partage mon expérience sur l’investissement, l’entrepreneuriat et le développement personnel. Devenu indépendant financièrement en 2011, et millionnaire en 2014, j’organise des séminaires ayant regroupés plus de 3000 personnes. J’ai créé plusieurs formations pour accompagner les personnes débutantes ou expérimentées dans les 4 piliers d’enrichissements que sont : l’immobilier, le business internet, le business classique et la bourse. Cliquez ici pour en savoir plus sur mon parcours

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44 réflexions au sujet de “(Article invité)J’ai fait l’Essec et alors?”

  1. Bonjour Cédric,

    Certes programme alléchant que cet Alex ayant donc fait un MS à l’ESSEC après un bac +5 …

    Mais sauf si je suis un peu manchot … quelle est son entreprise ? Secteur ? Business model ? Clients ?

    On ne la trouve pas sur son blog et au delà des phrases encourageantes, ce serait bien de voir le concret non ?

    Meci !

    Répondre
  2. Merci pour cet article, par contre j’ai googlelisé ce Mr et je ne trouve rien sur son entreprise.
    Peux en savoir plus ?

    Pas besoin de grande ecole pour reussir (mais ça aide), juste une volonté et du courage.

    Mais ne surtout pas tomber dans l’extrème et dire que les etudes ne servent a rien 😉

    Répondre
  3. L’article en lui même est très interessant, il est motivant fait rêver. Du coup on a envie d’en savoir un peu plus.

    Donc on va voir le fameux site « desmentorspourentreprendre ».
    Et la c’est un peu la déception en trouvant dans la page « Qui Suis-je » exactement la même description que dans l’article ci dessus.

    Ton bloggueur invité ne s’est pas beaucoup investit pour écrire son article. Mais bon il a un beau site très théorique, il vend même déja son bouquin, c’est décidément très tendance!

    Ensuite comme mentionné dans les commentaire ci dessus…
    – Qu’est ce qu’il fait comme business ce Mr?
    – Il y a t’il plus de détail?
    – Comment à t’il fait en temps de crise pour partir de rien et grandir si vite?
    – …

    C’est un peu domage de faire saliver les gens pour au final, pas grand chose (pour l’instant)…

    Cette Sucess story mériterait plus de détails et d’information! Ce serait tellement passionnant et instructif!

    Répondre
  4. Messieurs, messieurs… vous retenez rien, et en plus, vous googlisez mal…

    Vais être gentil:
    Dans l’article, on parle (entre autre) de réseau et de contact…
    Regardez un peu du coté des réseaux sociaux pro…
    LinkedIn par exemple…

    Bonne recherche, et merci pour l’article…

    Répondre
  5. Bonjour Cedric,
    C’est vrai , aucune précision sur l’activité de ce monsieur qui a si bien réussi , aussi rapidement, on reste sur notre faim , on voudrait bien en savoir plus ! comment a-t-il fait ? dans quel secteur ? etc….
    Merci

    Répondre
  6. Plus j’avance et plus je me rends compte que les profils grande école de commerce (ESSEC, HEC) ont vraiment la bonne mentalité pour réussir dans le business.

    J’ai des amis ingénieurs qui veulent créer leur boite, ils sont brillants, gagnent bien leur vie, et pourtant ils partent dans des projets qui me paraissent totalement farfelus.

    Répondre
  7. Po grave…
    Ca arrive, le web est vaste, mais franchement, ce qui me surprends, c’est le peu de personne qui fouille franchement avant de crier à l’aide.

    A celui qui veut en savoir plus, les infos donné par Cedric sont largement suffisant pour prendre rdv et boire un verre avec lui…

    Ce blog parle d’esprit d’initiative et d’autonomie. Assumez le un peu avant de rebrousser chemin en capitulant …

    Redressez la tête et j’ai une bonne nouvelle, c’est fesable…

    Répondre
  8. Cet article fait du bien. Il est plein de dynamisme, d’envie, de positif. 😉

    C’est également ce que je tente de faire sur mon Blog.

    Sortir des sentiers battus et ne pas adopter les mêmes attitudes que la majorité. Sinon, on a les mêmes effets. 🙂

    Amicalement,

    Sam

    Répondre
  9. Bien d’accord avec Alex.
    Une chose importante me semble t-il, : le fait que monter son business est une manière d’être, de penser, de voir le monde à part entière, de construire quelque chose, d’être aux manettes.

    C »est pour cette raison que j’aime parler avec des entrepreneurs, ils possèdent cette volonté, cette force, cette envie d’agir si rafraichissante et positive, qui rejaillit dans tous les domaines de la vie.

    Répondre
  10. Bonjour a tous,

    Je suis l’auteur de cet article invité.

    Mon entreprise est spécialisée dans le placement de consultants en informatique (pour la plupart des consultants indépendants).

    Cette entreprise est ma première société et mon premier pas dans l’entreprenariat.

    J’ai fait beaucoup d’erreurs lorsque j’ai commencé…. et j’aurais aimé avoir un support comme le blog que je souhaite développer.

    Mon but est de faire partager ce que j’apprends et les interviews d’entrepreneurs que je rencontrerai au travers de ce site.

    JN, je donnerais évidemment plus de détails sur mon blog au fur et à mesure sur comment j’ai fait en temps de crise, comment j’ai commencé alors que j’avais zéro contact… etc 😉

    Alex

    Répondre
  11. Effectivement, les études c’est important.
    Mais il faut savoir que l’éducation ne s’arrête pas à la sortie de l’école, quelque soit son parcours et la dernière classe fréquentée.

    Il faut se donner les moyens, la volonté de poursuivre son apprentissage de la vie, même bien après la période scolaire classique.

    Garder le goût d’apprendre, être curieux de tout, cotoyer des personnes de qualité (même d’apprendre des plus jeunes que soi: le talent et les qualités ne sont pas réservés qu’aux anciens), donner et recevoir, développer ses compétences, croire surtout en soi, ne pas baisser les bras à la première difficulté etc. ..

    ….ne sont qu’une infime partie, de ce qui permet de porter ses rêves d’indépendance vers la réalisation effective de ses projets.

    On peut être jeune, moins jeune et alors? gardons l’enthousiasme, la joie de vivre et d’explorer.
    Je sais, la vie n’est pas égale pour chacun d’entre nous, que l’on soit homme ou femme, tout le monde n’a pas « la chance » de venir au monde au sein d’une famille aisée. Soit! mais tous les hommes sont égaux quand il s’agit de se poser la question: « Qui je veux être dans ma vie? »

    A partir de cette simple question, une évidence se fait jour: PERSONNE ne peut m’empêcher de croire très fort en moi et en mes capacités. PERSONNE n’a le droit de douter en mon nom de mes chances de m’élever dans la vie!

    Mûrir son projet et surtout « AVANCER » sans écouter les défaitistes, les casseurs de moral.
    Votre vie, c’est LA VÔTRE! Comme moi LA MIENNE!

    Personne n’a le droit de vous imposer « leur façon de voir » pour vous. La vie que vous devriez et espérez avoir:
    faites-en votre « raison de vivre et d’exister » POUR VOUS ET POUR CEUX QUE VOUS AIMEZ ET QUI VOUS AIME!

    La vie est belle quand on veut bien se donner la peine de la regarder en face, avec tout ce qu’elle nous offre.
    Il suffit de provoquer ce changement, ne pas attendre indéfiniment qu’il vienne tout seul.

    Je viens tout juste de créer mon site/ Blog. Il n’est pas encore fourni de nombreux articles, mais ça va venir, c’est en cours!

    La vocation première de ce site, est de proposer des solutions, une écoute aux personnes qui sont à la recherche d’un renouveau dans leur vie.

    Qui ont des rêves, une envie très forte motivée parfois par une nécessité urgente et radical de changement de leur existence, des analyses sur le « comment réussir sa vie » et atteindre au mieux une sérénité que tout le monde à droit.

    Le sujet est vaste bien sûr:
    Vie professionnelle, personnelle, la famille, les difficultés financières, l’ Amour, ruptures et divorces et ensuite pouvoir croire à d’autres passions de vie, d’abord en se reconstruisant , revivre à nouveau et pourquoi pas…croire, accepter, reprendre confiance dans une autre histoire amoureuse. Le bien-être physique et psychique, etc.

    Les découvertes toujours possibles à cette recherche de « mieux-être/ mieux-vivre » sont là, il suffit d’ouvir son esprit, d’être « enseignable pour soi » et pour son propre développement personnel et projet de vie.

    Appréhender la vie, avoir une maîtrise sur elle, n’est-ce pas ce que l’on recherche tous en finalité?

    Répondre
  12. Salut,

    De mon point de vue, je suis d’accord avec le fait qu’il n’est pas nécessaire d’avoir fait une grande école pour faire du business.

    Les exemples de réussites de personnes n’ayant qu’un bac sont nombreux. (Xavier Niel chez Free par exemple).

    Par contre ceux qui ont fait des études de commerce sont initiés à la détection des « bons coups » à faire et ont étudié un minimum de business modèles, les bons, les mauvais histoire de pas reproduire des erreurs qui ont été faites dans le passé etc …

    Ca ne veut pas dire qu’on ne peut pas réussir sans faire de grande école, mais en faire une est
    à mon sens un énorme avantage.

    Répondre
  13. Merci Alex pour ce retour ! Concernant tes futurs interview tu vas t’orienter vers un domaine spécifique ? Car il y a beaucoup de blog d’entrepreneur mais en generale ils se limitent au entrepreneur marketing ( les créateurs d’ebooks )

    Répondre
  14. @Joris: Oui je vais interviewer des entrepreneurs et des experts (avocats, experts comptables, fusion, stratégies…etc).

    Je viens de mettre une première interview d’un entrepreneur que je connais qui à 28 ans, possède plusieurs pharmacies à son actif et un Très beau bien immobilier (il m’a demandé de garder confidentiel le nombre de pharmacie qu’il a et de la valeur de son bien).
    https://desmentorspourentreprendre.com/entrepreneurs-experimentes/

    Les deux prochains interviews à venir sont celui d’un entrepreneur qui est passé de 0 à 100 millions d’euros de CA, sa société est cotée en bourse.

    L’autre est d’un expert comptable/commissaire au compte spécialisé vers les jeunes entreprises innovantes.

    Jean Lou, Charly > Je suis tout à fait d’accord avec vous! Les études sont une chose, on y apprend des domaines importants à connaitre pour un entrepreneur mais l’entreprenariat n’a rien avoir avec les études. C’est une question d’envie et d’état d’esprit. D’ailleurs quand j’ai entrepris après mes études, je n’ai pas « réellement » valorisé mon diplôme puisqu’il ne m’a pas servi à décroché un poste en cdi comme l’ont fait tous mes camarades de promotion..

    Sinon je ne souhaite pas m’orienter uniquement vers les entrepreneurs marketing. Plus que l’entreprise, c’est l’homme qui m’intéresse. Sa vision, son état d’esprit,..etc C’est ce que je recherche dans mes interviews.

    @Rom, @Sam > j’aime ta vision et je la partage entièrement.

    @Joris > j’aurais aimé être Seth Godin, mais ce n’est pas le cas 😉

    @JN, @Francois > Mon activité est de porter les consultants indépendants, de leurs trouver des missions, gérer leurs facturations,…etc. L’entreprise est à cheval entre un cabinet de recrutement et une SSII. Nous adressons des grands comptes principalement des intégrateurs, des entreprises du secteur internet, des groupes industriels,…etc

    Comment j’ai fait en partant de zéro?
    L’envie de me dépasser, de relever des défis, du courage et beaucoup de travail.

    Cédric et moi partageons une même vision du business: nous avons envie de réussir et nous sommes prêt à nous investir pour réaliser nos rêves et nos ambitions !

    Répondre
  15. Bonjour Alex,

    Bravo pour cette réussite intéressante à analyser. J’irais consulter ton blog lorsqu’il sera avancé.

    Je rejoins Jean-Lou sur le fait que l’apprentissage ne s’arrête pas aux portes de l’école.
    Lire des bouquins, suivre des formations, tester des nouvelles expériences quitte à se planter lamentablement, et vouloir à tout prix réussir et apprendre toujours plus et progresser dans tous les domaines. Pour moi c’est l’une des meilleures façon de réussir.

    Et notre présence sur businessattitude nous prouve qu’on à tous soif de réussir comme Cédric et Alex..

    Bon courage en tout cas à Alex.

    Répondre
  16. Je me trouve à peu près dans la même situation. Diplomé d’une école de commerce (financée à crédit), je suis dévoré par la soif d’entreprendre. Masi il n’ets toujours pas facile de se lancer quand on met sans cesse sur la balance la stabilité que procure l’emploi en CDI et la liberté/adrénaline que procure l’entreprenariat.

    Répondre
  17. Bonjour,

    Attention à l’emploi du terme Essec – être diplômé d’un master de l’Essec (M07 dans le cas d’Alex) est certes une très belle carte de visite pour la vie professionnelle, mais ne permet pas de se prévaloir du terme « Essec », qui me semble faire davantage référence au programme Grande Ecole…

    Encore bravo à Alex pour sa florissante entreprise et son esprit de développement! Souhaitons lui beaucoup de courage et de réussite.

    Répondre
  18. Bonjour,

    Il aurait été intéressant d’avoir un petit descriptif de son entreprise et quelques chiffres.

    Et puis d’expliquer son parcours pour en arriver à « acquérir un bien immobilier d’une valeur d’un demi-million d’euros » à son jeune âge.

    Répondre
  19. Bonjour,

    C’est une belle réussite mais qui n’arrive pas si jeune sans :
    – un réseau personnel et professionnel dans ce secteur d’activité. La famille avait-elle déjà des contacts sérieux auprès de clients potentiels ?
    – un capital de départ conséquent. A ce jour, il est de 50 000 euros.
    – une capacité d’augmentation de capital afin de faire face au développement de l’entreprise, ce qui a été le cas en mai 2010.
    – un ou des associés expérimentés. Monsieur MENG SING CHHEAN qui est aussi gérant de l’entreprise apportait toutes les garanties pour ce projet.

    Le Label Réseau Entreprendre est le label le plus réputé mais aussi le plus difficile à obtenir. Il faut notamment être en capacité de prouver votre expertise du secteur.

    Je tenais à attirer votre attention sur ces points car la création d’une entreprise et l’obtention de prêt doit respecter certaines règles et ce n’est pas toujours si facile!.

    Bonne continuation.

    Alain Ordronneau
    Président du Challenger Club

    Répondre
  20. Bonjour !

    @Charly Je partage entièrement ton point de vue, avoir été dans une grande école de commerce peut être un plus.Mais c’est l’état d’esprit et le mental qui font parfois la différence !

    Bonne continuation à Alex

    Hervé

    Répondre
  21. Bonjour,

    C’est vrai qu’on a tjrs un peur mais perso, j’aime ce challenge !

    Je me dépasse et je fais des choses que jamais je pensais faire un jour.
    J’ai développé des compétences professionnelles, seule et je suis fière d’avoir reussi à acquérir ces connaissances.

    Toutefois, le partage est Meilleur car il y a un échange et des relations humains géniales qui se créer.
    Et ça c’est encore mieux !

    Virginie

    Répondre
  22. Joli parcours Alex ! Franchement tu as bien géré ton coup et tu as eu grave raison de te lancer plutôt que d’attendre en tant que salarié ! Finalement aujourd’hui tu n’as rien à regretter 🙂

    Répondre
  23. J’ai un petit doute en lisant cet article et après quelques coups de Google, puis de societe.com et verif.com sur ce qui apparaît a première vue en lisant l’article .

    A la première lecture, Alex sonne comme un self made man parti de rien qui a fait une boite très profitable, alors qu’il n’avait aucune connaissance ni réseau de relations, en plus il avait un pret de 14.000 euros derriere.

    Maintenant en regardant le bilan de la boite sur societe.com, on voit un 2eme gérant du même nom de famille né en 1974 qui, selon Viadeo, était consultant informatique chez Sopra Group pendant 7 ans en prestation au sein de grands groupes tel que Sanofi-Aventis,
    Orange, L’Oréal, Numéricable, etc.

    Alors est-ce que par hasard cette personne ne serait pas le grand frère de Alex, de 9 ans son ainé, qui aurait rendu possible le business de la boite? Je suppose qu’en étant consultant informatique pendant 7 ans auprès des grands groupes, on a tissé de sacrés bonnes relations dans le business et on sait ce qui ne va pas dans le business pour apporter une solution innovative. Et cela devient déjà beaucoup plus simple de faire prospérer une boite dans ce domaine avec ce profil dans la famille plutôt que galérer des années à essayer de chopper ses premiers clients sans rien connaitre a ce type de business quand on sort juste de l’école.

    Peut-être aussi qu’il y avait de la « love money » pour débuter. Avec 7 ans d’expérience en consultant informatique, je suppose que le membre de la famille associé devait avoir quelques fonds non négligeables pour lancer la boite. On voit que le capital actuel est de 50.000 euros, comme l’indique les chiffres de la boite.

    Le commentaire « Challenger Club » un peu au dessus est d’ailleurs intéressant car il précise qu’on réussit difficilement a ce jeune age sans quelques atouts de son coté (atouts visiblement détenus plutôt par l’associé apparemment).

    Je n’ai absolument rien contre Alex et son projet est super intéressant. Mais la façon dont est expliqué l’histoire semble assez malhonnête. Il serait bien de dire exactement comment les choses se sont passés pour éviter de vendre du rêve inutilement a des personnes qui croient que c’est possible en partant « a poil » .

    J’ai rencontré des tas d’entrepreneurs en Chine (je peux pas trop parler de la France) avec une entreprise qui marche (ou qui marche pas d’ailleurs). Au départ l’histoire est souvent présenté comme une belle histoire, une self made story. Mais en grattant un peu, finalement c’est loin d’être le mythe du self made man. La majorité du temps, on s’aperçoit que Papa est avocat, maman est docteur, donc deja ca aide pas mal pour faire « le fou » et entreprendre, car si on se casse la gueule, il y aura toujours une petite soupe et un logis qui nous attends. Quand on part a poil, c’est le RMI qui nous attends si on se plante, ce qui est d’ailleurs une bonne motivation.

    La « love money » de depart est aussi intéressante. J’avais un pote qui avait fait sa boite et malgré ses airs de « je me suis fait tout seul » m’a finalement avoué des mois après et quelques bières que sa famille lui a fait un chèque de 15.000 euros. Effectivement avec un chèque comme ca, on peut directement prendre des bureaux classe et 3 salariés avec soi, on part sur des meilleurs bases que si on part de 0 seul dans sa chambre 😉 Apres on peut toujours dire « oui mais je vais rembourser mes parents, c’est pas un don », ca ne sera jamais pareil qu’avoir un vrai prêt avec des intérêts derrière et des GROS problèmes en cas de non remboursement.

    Et je ne parle pas de tout ce qui concerne les relations. Le nombre incroyable de personnes que j’ai vu avec une boite qui marche parce qu’il y avait dans la famille un membre qui connaissait quelqu’un qui a fait que ca a marché (ca peut-etre un gros client ami de l’oncle qui a fait la premiere référence sérieuse, ou le grand pere qui travaille dans le business et ouvre son carnet d’adresse, etc.).

    J’ai honnêtement très rarement vu des entrepreneurs qui ont réussi from scratch, sans argent de départ, sans relation, éventuellement sans connaissance. Ceci ne veut pas dire qu’ils sont mauvais, ce n’est pas du tout mon propos. J’ai connu des entrepreneurs brillants, d’autres moins bons, mais force est de reconnaître que ce qui les a lancé, ce n’était pas leur génie mais autre chose, que ce soit un gros chèque, des relations en or ou autre chose non accessible a celui qui part vraiment la fleur au fusil.

    En résumé d’après mon expérience, quelqu’un de doué (ou même quelqu’un de moyen) peut être un super entrepreneur si il a les moyens (financiers, humains, logistiques, etc) de réaliser ses plans. A contrario un génie qui a pas le socle nécessaire pour bosser fera du sur place ou ira bcp moins vite, ce qui conduira peut-être a la mort de son business par faute de moyens et non de compétences.

    Au final c’est un peu comme un sous traitant d’un fabricant dans l’industrie qui a un seul client. Il a crée son business presque par hasard, il avait les fonds, les connaissances techniques et une bonne relation dans l’entreprise du fabricant (ou un ancien de chez ce fabricant, cas classique chez les sous traitants dans l’insdustrie). Son business fait des millions de CA par an, il passe pour un bon entrepreneur, tout va bien. Sauf que quand le fabricant coule, l’entrepreneur ne sait pas s’adapter et trouver d’autres clients, il coule avec. Etait-ce un bon entrepreneur? Non, c’était un bon gestionnaire qui a eu les fonds, les connaissances et le réseau au bon moment, rien de plus.

    Voila, c’était histoire de remettre les pieds sur terre a ceux partant de 0, les success stories sont pas toujours si faciles qu’elles semblent paraitre 😉

    Répondre
  24. re-@Willy-Chine,

    Un petit bug a fait que mon commentaire soit « coupé »…

    Je disais donc, effectivement, c’est plus facile de démarrer son business si on a des « aides » de quelques natures que se soit.

    Partir de « zéro » mais vraiment de rien de rien, oblige le candidat à la réussite à fourbir ses armes de jeune entepreneur avec ce qui l’a et rien d’autre. La galère quoi!

    Aussi, c’est tant mieux pour ceux et celles qui ont la chance d’être aidés au départ de cette passionnante aventure, que représente le lancement d’une entreprise.

    Mais il est vrai que la valeur de l’acte accompli n’a strictement rien de comparable pour l’un « le riche » et le second « le pauvre »

    Je fais confiance à Alex pour qu’il apporte son témoignage sur cette réflexion de point de vue, que tu soulèves par ton commentaire.

    Ton mes voeux de succès aux jeunes « pouces » d’entrepreneurs qui se lancent ou se lanceront demain avec peu ou pas de moyens du tout.

    Jean-Lou

    Répondre
  25. J’attends également le témoignage d’Alex pour donner quelques lumières 😉

    Ceci dit j’ai pas précise mais partir from scratch dans un business online gagnant est tout a fait possible sans relations, connaissance ou argent.

    Faire des business speculatif gagnant est aussi tout a fait possible from scratch, pour peu qu’on ait un capital suffisant.

    Dans les deux cas, on est seul maitre des decisions et il sagit surtout d’intuition et ne pas avoir la tendance contre nous.

    Par contre dans un vrai business offline, c’est beaucoup plus dur car il y a enormement de parametres a prendre en compte : trouver des clients, les satisfaire sur le long terme, gerer avec les partenaires, les associes, les employés, les fournisseurs, se battre contre les concurrents, trouver encore et toujours des nouvelles innovations dans son métier pour ne pas mourrir, etc. On peut être très compétent et pourtant être en faillite pour un petit truc qui a tout fait capote.

    Raison pour laquelle, c’est assez hard et la majorité des entrepreneurs avec une boite stable ont rarement débuté from scratch malgré ce qu’ils prétendent ou essayent de faire croire par non dit 😉

    D’ailleurs c’est intéressant au niveau psychologie ce besoin que j’ai souvent vu de montrer qu’on a réussi seul, un peu comme si on avait honte d’avoir eu des parents friqués, fait des écoles a 5000 euros l’année ou un tonton qui nous a déroulé le tapis rouge dans le business avec ses contacts. Je me demande si de la littérature existe la dessus tiens.

    Répondre
  26. Que ce soit son frère ou son oncle, c’est en tout cas un membre de la famille avec une dizaine d’année d’experience dans le secteur au moment de la création de la boite.

    Le pseudo Challenger Club dit plus haute, je cite :
    « Le Label Réseau Entreprendre est le label le plus réputé mais aussi le plus difficile à obtenir. Il faut notamment être en capacité de prouver votre expertise du secteur. »

    Est-ce que c’est Alex qui sortait de son école qui a montrer son expertise pour obtenir le Label? Ou c’est son oncle qui a rendu tout cela possible avec son expérience? Pareil pour le capital a investir dans la société, c’est Alex qui l’a mis alors qu’il était déjà grille auprès des banques avant son prêt? Ou un tour de table auprès de la famille (love money) a aide un peu? Même chose pour trouver les premiers clients, il les a trouve tout seul ou son oncle qui avait bosse avec plusieurs grand groupe en client a pesé dans la balance?

    Qu’Alex est tout fait tout seul sans l’aide de personne ou que son oncle est bien arrange les choses, dans les deux cas je pense qu’on aimerait tous en savoir plus. L’histoire de l’interview n’est qu’a moitie dite, on aimerait connaitre l’autre moitie, comme on peut le voir dans tous les commentaires.

    Dans un cas cela voudrait dire qu’on peut vraiment reussir sans argent, sans connaissance, sans relation dans un business from scratch. Dans le 2eme cas ca voudra dire qu’il y a pas mal de pre-requis pour faire un business gagnant.

    Dans les deux cas, il serait interessant pour tous les futurs entrepreneurs de savoir le fin mot de l’histoire. J’attends qu’Alex nous fasse partager son expérience, c’était bien le but voulu par cet interview non?

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  27. Et bien notre ami Alex n’a pas répondu, que doit-on en conclure?

    En tout cas c’est marrant parce que Cedric a mis une vidéo très juste il y a quelques jours ou il indique que les médias nous mentent car ils disent que la partie des informations qui sont sensationnels. En clair les faits ne sont pas faux, mais comme tout n’est pas dit la compréhension globale est complètement faussée et mensongère.

    Or visiblement avec Alex nous avons exactement le même cas du média dénoncé par Cedric. On nous montre le cote supérieur l’iceberg « vous pouvez réussir en partant de rien, je l’ai fais » alors que la partie immerge représentant 90% de la vérité est visiblement cache. Or c’est plutôt celle partie qui est digne d’intérêt pour aider les entrepreneurs.

    Cedric, tu crois pas qu’on est dans un paradoxe intéressant ici? Ou alors on peut appeler cela le deux poids deux mesures comme dirait un comique justement pas très apprécié par les médias.

    Répondre
  28. @Willy > Pour commencer, il aurait été opportun d’attendre ma réponse.
    Pour répondre à tes interrogations:
    Je suis à l’origine du projet.
    Lorsque j’ai décidé de créer mon entreprise, j’ai pesé le pour et le contre entre :

    – Ce que j’étais capable de faire
    – La perception que le marché aurait de moi

    La conclusion a été la suivante : Prendre un associé complémentaire.

    J’ai voulu un juste équilibre entre une personne du milieu qui rassurerait les banquiers, les clients et une personne de confiance.

    Le choix m’a paru évident : Mon oncle qui répondait à tous les critères.

    Si tu avais pris un peu de temps pour regarder un peu les articles de mon site avant d’écrire ton commentaire, je l’explique très bien.

    http://www.desmentorspourentreprendre.com

    Mais apparemment, tu n’as pas pris la peine de faire ce petit effort.
    (J’imagine donc que tu n’es pas un entrepreneur car vu la teneur de ton commentaire cela me semble pas le cas.)

    Autre chose, je ne recommande à personne de se lancer sans une planification et une bonne préparation.

    C’est la base même de toute réussite (quelque qu’il soit d’ailleurs).

    J’ai pris un associé en connaissance de cause : Compenser ma jeunesse et les lacunes qui me manquaient.

    Le fait de prendre mon oncle en tant qu’associé a été un choix judicieux et pertinent pour moi.
    Car j’ai confiance en lui.

    Et non, il n’apportait pas non plus toutes les garanties.

    J’aurais aimé qu’il puisse solliciter ses anciennes références mais cela n’a pas été possible…

    Nous avons donc tout fait par nous-même en commençant de zéro.

    Lui comme moi.

    Et je ne dis pas que cela a été facile (et encore une fois si tu as pris quelques minutes pour lire des articles de mon site…)

    Bien au contraire, nous avons beaucoup travaillé :
    Lui, moi et l’ensemble de notre équipe.

    Nous avons eu le label du Réseau Entreprendre grâce à notre préparation et notre complémentarité à tous les deux.

    Moi pour l’aspect commercial et mon associé, la dimension technique.

    Enfin pour finir, mon père est chauffeur de taxi et ma mère est Mère au foyer.

    Je ne suis donc pas issu d’une famille de riche, d’avocat ou je ne sais quoi.

    Tu ne me connais pas, alors merci de ne pas sortir ce genre de bêtise.

    Répondre
  29. « Pour commencer, il aurait été opportun d’attendre ma réponse. »
    => la reponse arrivant 3 semaines apres, je pensais pas qu’il y en aurait une, mais c’est tant mieux 😉

    « J’ai voulu un juste équilibre entre une personne du milieu qui rassurerait les banquiers, les clients et une personne de confiance.  »
    => et tu as tout a fait raison. Cela finalement confirme ce que j’ai dit dans mes commentaires precedents, on ne reussit pas from scratch seul sans atouts, soit on a des atouts, soit un autre dans la team les a. Le probleme c’est que l’interview de base de cet article ne l’indique pas, l’interview semble montrer que tu as reussi tout seul alors que tu etais grille aupres des banques et sans experience. D’ou de nombreux commentaires qui demandaient explication. Tu as fait la boite avec ton oncle qui avait les atouts que tu avais pas, voila c’est dit, maintenant tout est clair et tout le monde comprend. Et ca evitera de donner des mauvaises idees a des gens qui ont vraiment aucun atout mais qui pensent que c’est possible (2 entreprises sur 3 coulent apres 3 ans non si je me souviens bien? Ca serait donc bien d’eviter de faire croire n’importe quoi, en particulier de donner l’illusion qu’on peut reussir a faire une boite gagnante en etant grille aupres des banques et sans experience. Non pas que ca soit impossible, mais en tout cas ce n’est pas ton cas).

    « Le choix m’a paru évident : Mon oncle qui répondait à tous les critères. Si tu avais pris un peu de temps pour regarder un peu les articles de mon site avant d’écrire ton commentaire, je l’explique très bien. »
    => D’une part on est sur le blog de cedric et je regarde en fonction de ton interview, je ne vais pas rechercher sur toute la blogosphere tes infos. D’autre part la recherche google « site:https://desmentorspourentreprendre.com + oncle » ne donne rien donc visiblement pas un seul article parlant de ton oncle et de son influence sur la boite. N’hesites pas a donner le lien direct de l’article ou tu indiques comment tu as fait ta boite avec lui. Pas specialement pour moi mais pour les entrepreneurs en herbe qui lisent ce fil et veulent en savoir plus.

    « Mais apparemment, tu n’as pas pris la peine de faire ce petit effort.
    (J’imagine donc que tu n’es pas un entrepreneur car vu la teneur de ton commentaire cela me semble pas le cas.) »
    => parce que je n’ai pas lu en detail ton blog je ne suis pas entrepreneur? 🙂 Ahah elle est bien bonne. Ou alors ce sont mes commentaires donnant mon avis sur les entrepreneurs que je connais qui montrent que je ne suis pas un entrepreneur? Ahah elle est bien bonne (bis).
    Visiblement tu devrais un peu plus te renseigner, a commencer par cliquer sur mes liens.

    « J’ai pris un associé en connaissance de cause : Compenser ma jeunesse et les lacunes qui me manquaient.
    Le fait de prendre mon oncle en tant qu’associé a été un choix judicieux et pertinent pour moi.
    Car j’ai confiance en lui. »
    => encore une fois, tout a fait d’accord. Personne ne critique cela, il est logique de prendre un bon partenaire pour faire un bon business. Je dis juste qu’il aurait ete plus clean de le dire dans l’interview plutot que parler en « je » laissant sous entendre que tu as reussi from scratch. Si je m’associe dans un nouveau business avec warren buffet, bizarrement je suis sur de faire un business gagnant alors que seul c’est pas tout a fait la meme chose 😉

    « Et non, il n’apportait pas non plus toutes les garanties. » => Qui a apporte les deniers pour creer la boite alors que tu etais avec 14000 euros de credit a rembourser? Qui donnait a la boite son aspect serieux plutot qu’une startup de bricolage (dans le sens on a pas l’experience mais on apprend en meme temps)?

    « J’aurais aimé qu’il puisse solliciter ses anciennes références mais cela n’a pas été possible…  »
    => Ton oncle a travaille 4 ans chez SOPRA Group juste avant de creer la boite, et cette societe fait partie de tes quelques clients presents sur ton site, en position 2 (relation avec l’anciennete?). Absolument aucun rapport entre les deux, vraiment…?

    « Enfin pour finir, mon père est chauffeur de taxi et ma mère est Mère au foyer. Je ne suis donc pas issu d’une famille de riche, d’avocat ou je ne sais quoi. Tu ne me connais pas, alors merci de ne pas sortir ce genre de bêtise. »
    => Est-ce que j’ai pretendu le contraire? J’ai donne un avis sur des entrepreneurs que je connais et j’ai dit que tres souvent malgre l’apparente reussite, il y a des choses qui expliquent celles-ci mais sont caches parce que ca fait plus classe de faire genre le self made man. J’ai mis dans le lot entre autres ceux qui « font les fous » a creer une boite alors que derriere les parents sont blindes donc ils risquent pas grand chose.
    Ou alors ceux qui reussissent avec des relations en or. L’essence meme de ce que je raconte est dans la phrase suivante que je recopie :

    J’ai honnêtement très rarement vu des entrepreneurs qui ont réussi from scratch, sans argent de départ, sans relation, éventuellement sans connaissance. Ceci ne veut pas dire qu’ils sont mauvais, ce n’est pas du tout mon propos. J’ai connu des entrepreneurs brillants, d’autres moins bons, mais force est de reconnaître que ce qui les a lancé, ce n’était pas leur génie mais autre chose, que ce soit un gros chèque, des relations en or ou autre chose non accessible a celui qui part vraiment la fleur au fusil.

    Donc je n’ai pas dit que tu etais TOI issu d’une famille riche. J’ai dit que les entrepreneurs, en general, ont des atouts qui ont fait que le business marche. Tu ne fais pas exception a la regle, dans ton cas cela a ete une relation en or pour reprendre mon expression, soit ton oncle qui presentait la credibilite au projet, l’experience, la connaissance et eventuellement celui qui a mis la main a la poche (puisque tu etais avec ton decouvert de 14Ke).

    Enfin j’ai remarque un coup de gueule sur ton blog ou tu reponds a mes commentaires en indiquant que je suis jaloux. Dites donc vous vous etes donne le mot avec Cedric? Quand il ecrit son article pour dire qu’il s’est autovire, j’ai ecrit en commentaire que plutot de faire un article « j’ai posé ma démission pour pouvoir développer mon business sans filet, je suis trop un ouf », il aurait plutot du ecrire un article « comment j’ai fait pour chopper les assedics pendant 2 ans pour développer mon business ». En reponse il me fait passer pour un jaloux alors que ca faisait belle lurette que j’avais fait la meme chose. Dans le meme genre tu me dis aussi que je ne suis pas entrepreneur. Les gars faudrait quand meme prendre du recul sur la situation. Surtout que mes critiques sont venus car je voyais des commentaires qui allaient dans mon sens, donc ce que je racontes je ne suis pas le seul a le penser.

    Cher Alex, ma seule critique etait de voir que l’interview te donnait l’aspect du self made man et cela me semblait dangereux pour les entrepreneurs en herbe qui pensent que creer une boite est simple. J’ai simplement mis mon grain de sel pour expliquer que ce n’est pas si simple et ceux qui font croire le contraire cache en realite beaucoup d’atouts. Donc ton cas contrairement a ce que laisse penser l’interview, tu aurais jamais pu avoir ce succes avec ta boite si ton oncle n’avait pas ete la pour les differentes raisons evoquees, c’est important a souligner. Je ne suis d’ailleurs pas le seul a le dire…a commencer par toi qui a fait une etude serieuse du marche et a decide qu’il te fallait absolument un partenaire pour je cite « rassurer les banquiers et les clients ».
    Cela ne remet absolument pas en cause tes competences, ton succes et ton travail. Si on met Warren Buffet au milieu du Sahara et sans moyen de communication, malgre son intelligence, il ne pourra pas gerer son business.

    Apart cela je suis issu de famille monoparentale, seule avec ma mere au SMIC ou au chomage toute sa vie donc ma situation est surement encore pire que la tienne. Par ailleurs si tu as obtenu un pret de 14KE, c’est que derriere il devait y avoir une caution disponible. La seule fois ou j’ai voulu demander un pret pour mes etudes, avec ma mere c’etait mort de chez mort, autant de credibilite qu’un SDF. Et pourtant je suis entrepreneur depuis quelques annees en Asie. Vu tes origines asiatiques, nous avons donc bien plus de points communs que tu ne l’imagines.

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  30. Ah bah tiens, en regardant le blog d’Alex, le post consacre au financement de la creation de societe on peut voir dans un commentaire :
    « Ni mon associé, ni moi n’avions des fonds au départ… Mais nous avons pu réunir auprès de proches la somme de 80 000 euros pour nous lancer. »
    (voir https://desmentorspourentreprendre.com/comment-trouver-un-bon-financement-lors-de-la-creation/ )

    80.000 euros?? Ah bah ca va, decidemment tout s’explique. Je parlais de « love money » dans un de mes commentaires le mois precedent, je vois que j’avais parfaitement raison, j’etais meme bien en dessous de ce que j’aurais imagine. Tu es au courant Alex qu’avoir 80KE de love money c’est pas reserve a tout le monde? Pas mal de gens qui voudraient etre entrepreneur n’ont meme pas 5000 euros pour se lancer. Il y en a qui font des dossiers de malades juste pour avoir une aide de 3000 euros, alors avoir 80KE de love money c’est quand meme un coup de pouce incroyable. Ce n’est pas une critique, tant mieux pour toi, mais ce n’est pas ce que semblait indiquer ton interview de depart.

    Donc pour reprendre ta boite a reussi en bonne partie grace a 80000 euros de depart qui ont permis d’avoir un pret encore plus grand + ton oncle qui presentait toute la credibilite, experience et connaissance du secteur. On est loin, mais alors TRES LOIN de ce que semblait dire l’interview de depart « j’ai reussi tout seul sans experience en etant grille aupres des banques avec 14KE d’emprunt ».

    Tous mes commentaires sont parfaitement logiques et j’attends impatiamment que quelqu’un critique mon point de vue.

    D’ailleurs j’ai mis un commentaire sur le coup de gueule de ton blog pour indiquer ce fil a tes fans pour qu’ils me critiquent en lisant la totalite de l’article et des commentaires, c’est toujours mieux que de critiquer par derriere sans savoir comme ils ont commence a faire. Je remarque que tu n’as pas valide mon commentaire, du moins pas pour le moment 😉

    Répondre
  31. J’accompagne de très nombreux entrepreneurs dans différents domaines et je constate qu’il existe toujours une différence entre le discours et la réalité.

    Dans de nombreux magazines, les chiffres d’affaires sont souvent faux et les journalistes ne prennent pas le temps de vérifier les informations.

    Je pense aussi que la transparence est utile pour tous les entrepreneurs ambitieux.

    Je travaille régulièrement avec le réseau bancaire et celui-ci impose des conditions qu’il est utile de connaître avant de montant son dossier.

    Voici un bref résumé :

    Avant tout, il est important de bien prendre en compte le fait que le banquier mesure son niveau de risque.

    1- Le créateur a t-il le diplôme et l’expérience requise pour son projet. Plus on est jeune en âge et en expérience et plus le risque est élevé pour le banquier.

    2- Le créateur a t-il des fonds propres. Actuellement la banque demande un minimum de 30 % d’apport personnel du montant total du financement. En dessous, c’est de plus en plus exceptionnel sauf dans le cas des franchises.

    3- Quelle garantie peut être solliciter en cas de défaillance de l’entreprise ?. En général, même si la garantie OSEO est sollicitée, la banque demande toujours une caution personnelle et solidaire pour deux associés.
    La garantie OSEO est par ailleurs souvent inutile car la banque se retournera contre la caution solidaire.

    4- Une analyse du projet et du secteur d’activité. La banque possède de nombreux ratios par secteur et estimera son risque.

    D’autres critères sont à prendre en compte.

    Quand le banquier considère que le dossier est délicat, c’est souvent lui qui incite le porteur de projet à s’orienter vers des structures de prêt d’honneur comme le Réseau Entreprendre.

    Pouquoi ?

    Tout simplement parce qu’il considère qu’il réduit son niveau de risque en faisant expertiser le projet par des professionnels. Et la banque réduira le montant du prêt et donc son risque car ce type de réseau pourra prêter sous forme de prêt d’honneur au créateur.

    Tout en sachant que le Réseau Entreprendre aura lui aussi vérifier le niveau de défaillance de remboursement du prêt d’honneur du porteur de projet en analysant chiffres à l’appui le patrimoine de l’entrepreneur.

    Un conseil pour les entrepreneurs : mettez vous à la place du banquier et essayer de comprendre ses impératifs.

    Le banquier, c’est un commerçant qui vous fait un crédit et qui a besoin de récupérer son investissement même en cas de défaillance.

    De nos jours et compte tenu du contexte économique, le risque n’est plus à l’ordre du jour.

    Bon courage à tous.

    Répondre
  32. @Alain

    « J’accompagne de très nombreux entrepreneurs dans différents domaines et je constate qu’il existe toujours une différence entre le discours et la réalité.

    Dans de nombreux magazines, les chiffres d’affaires sont souvent faux et les journalistes ne prennent pas le temps de vérifier les informations.

    Je pense aussi que la transparence est utile pour tous les entrepreneurs ambitieux. »

    => alors la nous sommes 100% sur la meme longueur d’ondes, bravo!
    J’ai eu mon envie d’entreprendre justement avec les magazines type Capital et il est clair qu’il y a pas mal de pipeau qui nous mettent sur une mauvaise voie. Et ce qu’il y a dans les magazines n’est que le reflet de la realite sur ce que disent les entrepreneurs en general, le cote immerge de l’iceberg pour faire syle.
    Si je fais des commentaires c’est justement parce que je trouve scandaleux de cacher la verite pour donner des fausses esperances aux gens.

    J’ai commence ma boite parce que a force de lire des gens comme Alex qui ne montraient que le cote immerge de l’iceberg je pensais que c’etait relativement facile. Or c’est tres loin d’etre facile et il m’a fallu des annees pour me rendre compte que les entrepreneurs qui sous l’apparence de dire « j’ai reussi juste avec ma force de travail » ont reussi parce qu’il y avait autre chose : un partenaire excellent, un gros cheque ou autre chose de determinant. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu de travail, mais le succes n’aurait pas ete au rendez-vous sans ces aspects autre que le travail, en particulier l’argent. Or il est bien regrettable que cela est occulte pour parler juste du travail personnel, important certes, mais n’etant qu’une partie de l’equatiion gagnante.

    C’est donc bien beau de donner des conseils aux entrepreneurs, mais il faudrait deja commencer par dire la verite et etre transparent. A commencer par « si tu commence ton business avec 80.000 euros offert par ta famille, tu as de tres bonnes bases pour faire un business gagnant car cela te permettra d’obtenir un pret encore plus gand. » A contrario « Si tu commences avec 400 euros, il y a de bonnes chances que tu finisses par l’avoir dans l’os, comme 2 entreprises sur 3 ».

    Le probleme etant que la majorite des entrepreneurs qui voudraient se lancer sont plus proches des 400 euros que des 80.000 euros. Plutot que de leur dire « vous aussi vous pouvez y arriver, je l’ai fait (mes 80KE? non c’est un detail) » il serait mieux de dire « bosses d’abord pour faire un capital suffisant et ensuite lances toi, sinon tu vas morfler ». Voila un conseil deja plus realiste meme si il fait moins vendre.

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  33. très beau parcours en fait.

    comme je l’ai déjà mentionné sur ton blog, l’état d »esprit est un facteur déterminant pour la réussite.

    je viens de terminer la lecture du livre  » la maitrise de soi-même » d’Émile Coué et j’en fait son résumé sur mon blog.

    en lisant de tels livres certains comprendront que ‘l’on peut avoir et être dans les mêmes conditions de vies; mais avoir deux visions complètement opposés.

    ce n’est pas le fait d’avoir fait de grandes études qui conditionnent l’avenir de quelqu’un.

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  34. Bravo à Willy. Je suis tout à fait d’accord avec ce que dit Willy. En effet, à entendre dire les progrès qui sont réalisés ici et là, on risque de penser que c’est le commun des mortels. Dans tous les cas, mieux vaut dire la vérité et considérer que ce qui est faisable pour certain ne l’est pas nécessairement pour tout le monde. Je parle spécifique par exemple pour ce qui est de l’accès aux crédits bancaire et personne ne m’a donné jusque là une solution ou tout au moins une voie de sortie.

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  35. @Samuel

    « ce n’est pas le fait d’avoir fait de grandes études qui conditionnent l’avenir de quelqu’un ». => quel rapport entre l’interview, les commentaires qui ont suivi et ce commentaire? Quelqu’un a dit le contraire?

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  36. @Joseph
    Faire un crédit bancaire? Mais c’est tout simple, il faut que tu montre 80.000 euros a ton banquier et il t’accordera un crédit. Tu ne les a pas? Allons allons, ta famille doit bien pouvoir t’aider. Regarde Alex, fils de taxi et pourtant il a réussi a les trouver, c’est donc que tout le monde peut y arriver.
    Evidemment c’est ironique afin de montrer que la grosse majorité des personnes qui veulent entreprendre et obtenir un crédit l’ont dans l’os.

    D’ailleurs 80.000 euros, c’est quand même 4 salaires annuel médian français. Je répète pour qu’on ait bien l’image dans la tête, la somme qu’a obtenu Alex de la part de sa famille pour créer sa boite est équivalent au revenu moyen ANNUEL de 4 français moyen. Ou alors 800 SMIC, une autre façon de voir les choses. Tant mieux pour lui mais ce n’est pas n’importe quel personne qui peut avoir cela. Avoir déjà 8000 euros, soit le 10eme, pour créer sa boite, c’est déjà un mirage pour la majorité des personnes qui veulent se lancer.

    @Alex
    A ce propos, mon commentaire a toujours pas été validé sur ton blog. C’est intéressant ta façon de traiter l’information. Tu fais un post coup de gueule en donnant TA vision des choses mais quand on fait un droit de réponse en invitant les lecteurs a se faire leurs propres idées en étudiant ce qui a été dit sur ce blog, tu préfères ne pas l’afficher (voir https://desmentorspourentreprendre.com/coup-de-gueule/ ). Cela en dit long sur ta personnalité.
    A mon avis tu te grilles tout seul. D’ailleurs je me suis permis d’envoyer mon commentaire aux personnes qui m’ont insulté sur ton blog vu que tu ne l’as pas affiché. Ils ont vu sous un autre angle l’histoire que tu as raconté.

    Répondre

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